TQ T3 n°9 à 12

Newsletter Thérapies Quantiques tome 3, 139 pages format livre

Tout le texte brut est présent ce qui permet de faire une recherche via le module de recherche Google, en haut à droite. De plus la plupart des illustrations ont été mise en page afin de faciliter la compréhension du texte.

Pour les illustrations, il y a en a un peu pour comprendre le texte, mais si vous voulez les voir toutes, il faudra soit vous procurez le livre complet en papier ou en kindle, soit acheter le ebook kindle correspondant aux 4 tomes du menu (ici le Tome 3)

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N°9 Automne 2013

Street Art & Système de Valeurs

Paris, place Clichy, un passage pour piétons et puis au sol, juste au bord du trottoir, une inscription au pochoir, couleur bleu-azur : "lève les yeux, regarde le ciel". Aussitôt j'ai pris conscience qu'effectivement depuis un moment je marchais, la tête baissée, perdue dans mes pensées. En quelques secondes, ce petit message déposé là sur le goudron du trottoir, par un inconnu, m'a réveillée et ramenée dans l'instant présent. Le Street Art c'est comme ça : un art de la rue aux multiples modes d'expressions qui, tout à coup, au détour d'un mur ou d'un mobilier urbain vient nous faire une proposition, nous ouvrir les yeux sur une autre réalité. 

Actuellement nous sommes dans une période où la société arrive à épuisement d'un système de valeurs. La seule fabrication d'objets (industrialisation) et la distribution de services (société basée sur le tertiaire) ne créent plus de richesse. La nécessité d'innover et de penser autrement devient vitale. Or il y a un monde qui, justement, fonctionne sur une convention d'originalité: c'est le monde de l'art. En considérant ce qui s'y passe nous avons donc une possibilité d'y trouver de nouvelles pistes pour le futur de notre société. Le Street Art est un phénomène très récent et les valeurs qui l'animent sont particulièrement en lien avec les nouvelles énergies. 

Il y a deux types d'artistes. Celui qui recherche en lui-même ce qu'il a à dire et expose sa personnalité ou sa sensibilité au reste du monde et puis celui qui n'est pas confiné à l'expression de son moi et aborde toutes sortes de thématiques dans une recherche de beauté et d'évolution. L'artiste peut donc avoir de multiples objectifs. Il peut aussi bien susciter des émotions que des questions, produire du beau ou prendre position, revisiter un savoir bien établi et contribuer à nous faire bouger. Un artiste a le don de pouvoir puiser dans toutes sortes de registres et de nous parler autrement d'un thème, décalant notre regard et nos conceptions sur un sujet vers d'autres possibles.

Apparu dans les années 1970 aux États-Unis après le courant des tagueurs puis des graffeurs, la démarche du Street Art est de sortir l’œuvre d'art du musée pour en faire une véritable expérience en lien avec la réalité du quotidien des habitants : "Lier l'art avec le vivant". C'est vers les années 1980 qu'il est arrivé en Europe. A cette époque certains artistes ont voulu se différencier des fameux graffitis new-yorkais. Pour cela ils vont mettre en œuvre d'autres techniques comme celle du pochoir. De phénomène de société l'art de la rue va alors être considéré comme un fait artistique et donc un nouveau moyen d'expression.

Le Street Art est avant tout un art éphémère. Soumis aux intempéries, à l'usure du temps il est appelé à disparaître et cela l'artiste le sait. Or justement il fait volontairement ce choix. Pour nous cela peut être un bel exemple. En renonçant à s'attacher à son œuvre, l'artiste a accepté l'impermanence des choses. Il nous rappelle que ce qui importe c'est l'être et non l'avoir c'est l'expérience et le vécu qui sont à privilégier. En agissant ainsi il se dégage aussi des pièges de l'ego, il garde la liberté et le pouvoir sur lui-même. Il a intégré l'impermanence des choses matérielles : la forme ne doit jamais faire perdre de vue le fond , elle ne doit pas nous faire oublier l'essentiel.

Le Street Art a une valeur intemporelle car étant par essence l'art du détournement, il nous montre ainsi un autre chemin. En faisant parler les murs, revivre des lieux par la couleur la forme, en transformant la rue en un musée à ciel ouvert accessible et gratuit pour tous il nous porte plus loin. Pour peu que nous sachions nous servir de leur hasard il crée ces espaces de liberté en faisant bouger la ligne de nos certitudes. Il nous pousse derrière ce miroir où tout à coup nos actions n'ont plus besoin d'être rentables pour avoir du sens et où nous pouvons rejoindre l'essentiel.

Le Street Art est un art non officiel mais également le plus souvent anonyme. L'identité de nombreux artistes est inconnue alors que leur renommée est nationale ou internationale. Pas de dogme, pas d'organisation, rien d'institutionnalisé. Le facteur économique comme la recherche de notoriété sont totalement absent du Street Art. L'état d'esprit qui l'anime est une forme de liberté intérieure qui empêche toute récupération par un système économique ou politique mais aussi toute forme de manipulation intérieure par l'ego. Par son mode de diffusion le Street art est par essence totalement altruiste.

En choisissant la rue, tout comme en choisissant de ne pas dévoiler leur visage, ces artistes réunissent art et activisme pour nous faire réfléchir. Ils viennent aussi nous rappeler que cet espace public qui est de plus en plus investi par le privé et utilisé comme outil de communication à des fins essentiellement commerciales ou politiques (même si l'objectif affiché est censé être purement culturel) est aussi et avant tout le nôtre. 

Du Street Art il en fleurit un peu partout dans les villes. Que ce soit de courts messages, sous forme de textes, de dessins au pochoir, de mosaïques comme celles d'Invader, de masques sortant d'un mur ou de stickers pouvant épouser le moindre recoin ou la courbure d' un poteau "le Street Art" n'a pas de délimitation établie. Il peut être nulle part et partout à la fois. Qu'il se manifeste sous forme d'humour, de slogans accrocheurs ou de petites phrases à double sens il est une invitation à prendre le temps de regarder, une invitation à s'ouvrir aux surprises. Il est aussi une proposition pour faire de l'univers urbain froid et hostile une opportunité de réagir, de porter un regard plus humain sur ce qui se passe autour de nous. Et il sait très bien être aussi un instant de beauté ou de poésie. Qu'il nous questionne, bouscule nos repères esthétiques ou moraux il offre un espace infini de liberté et de découvertes multiples si nous acceptons de le laisser entrer dans notre vie.

Cette autre façon de donner vie à la ville, d'occuper les espaces publics comme une tribune libre accessible au plus grand nombre sans limites d'âge ou de condition c'est aussi une belle façon de nous signifier qu'à chaque instant nous co-créons notre réalité et que c'est possible ici et maintenant de participer à ce futur qui nous concerne tous. 

Approche No-Stress

Nos deux ouvrages grand-public sont maintenant édités et disponibles dans toutes les librairies boutiques et en ligne. La médiation corporelle "Notre corps est notre meilleur ami" est la base des deux ouvrages. 

Le mémento du Sport Anti-stress & Le mémento de la Vie Anti-stress

Le premier, plus YANG dans le contexte des stress, s'appuie sur le QI-GONG et le deuxième, plus YIN dans le contexte des stress, s'appuie sur le YOGA. Dans tous les cas l'idée est que le stress, une fois déclenché est physiologique (neurotransemetteurs, hormones, ...), toute approche mentale est donc vouée à l'échec. 

En temps que thérapeute le Qi-gong est plus facile à faire passer au patient. En revanche en auto-coaching, le Yoga offre la possibilité de se transformer, de modifier sa façon de voir les choses ce qui est un grand avantage. 

Le Yoga dont nous parlons ici n'est pas un Yoga statique, la Vie c'est le mouvement. Il s'agit d'un Râja-Yoga qui inclut toutes les approches : relaxation, rire, sons, respirations, mouvements (Vinysasa), postures, ... on peut parler d'un Yoga intégratif. 

Pk-codes & Homéo-Crops: Ici & Maintenant, Adaptation, Réguler, cohérence, unité, hilarion, ...

Message des Crop Circles : 

Après cette belle introduction inspirée, abordons les crop-circles sous l'aspect informations quantiques.

Tout d'abord il convient de distinguer les différents domaines d'action des Crops (contraction de crop-circles). Il y a bien sûr les Crops folkloriques que l'homme fait lors de la fête des moissons, il y a les Crops pour réharmoniser la Terre elle-même, Gaya la Terre vivante. Et il y a des Crops qui permettent une connexion de qualité à une information (une énergie, un égrégore, une source...) utile pour l'Homme. C'est bien sûr ces derniers Crops qui nous intéressent dans le cadre des thérapies dites quantiques. Nous sommes donc dans le même cadre que l'homéopathie par exemple ou l'olfactothérapie. Chaque Crops va permettre d'activer la connexion à une information qui sera thérapeutique si elle est structurante pour la personne et adaptée à son terrain et à la problématique qu'elle traverse alors. Chaque Homéo dite spirituelle ou quantique peut donc avoir son équivalent en Crops. Le problème est bien sûr de trouver ce Crops s'il existe soit pour une personne en particulier soit pour une application plus universelle. Vous trouverez ci-dessous des Crops que des thérapeutes énergéticiens ont découvert et expérimenté avec succès. Au test, ils apparaissent comme suffisamment universels pour être présentés, à titre d'exemple, dans la newsletter : 

Focus "ICI & MAINTENANT"

Commençons par un premier Crops qui peut nous connecter au CARPE DIEM, l'énergie de l'ici et maintenant. Ce Crops nous met aussi en relation avec l'état d'esprit qu'il y a derrière les nouvelles énergies du Verseau. Ainsi, lors d'un soin au cabinet, il sortait positif pour une patiente qui "oscillait" entre les anciennes et les nouvelles énergies afin qu'elle puisse s'y connecter "naturellement" nous rapporte Eric. 

Focus "ADAPTATION"

Le Crops de Fosbury near Vernham Dean du 17/7/2010, semble avoir comme mot clef ADAPTATION. Adaptation aux nouvelles énergies par exemple, dans les plans physique et spirituel. Travailler le syndrome de DES-ADAPTATION (anxiété, fatigue, fibromyalgies, anorexie/boulimie voire dépression) avec ce Crops est donc une bonne piste. 

Au test, ce Crops est utilisable à 100% pour les humains et à 50% pour les animaux ou les végétaux. Son action possible est dans les plans physique et spirituel, en soin ou en auto-soin. Les personnes les plus réceptives sont celles "branchées subtil" et bien sûr tous les thérapeutes dont le cadre est spirituel. 

Réguler la "CHRONOBIOLOGIE" 

Le Crops ci-dessous aurait une action physique et spirituelle permettant de réguler la chronobiologie. Une des premières applications est donc d'avoir un sommeil physiologique réparateur. Nathalie, en dormant avec la photo du Crops sous son oreiller, confirme. D'ailleurs dormir avec le crop-circles que vous avez repéré comme"bien pour vous" sous l'oreiller est une bonne méthode d'activation qui de plus favorise le sommeil, la récupération, la réceptivité et l'intégration de certains messages. 

Eric nous propose comme pistes complémentaires :

On peut aussi reconnaître un des symboles Reiki (un cube en 3D) dans sa version Verseau : Antahkarana. Voici ce qu'en dit Alice Ann Bailey : 

La voie ou le pont entre le "mental" supérieur et le "mental" inférieur, servant de moyen de communication entre les deux. 

Enfin notons que c'est le dernier Crops du calendrier 2013 de CalendrierCropCircles.com qui est un excellent calendrier pour "thérapeutes quantiques". 

Focus ... VARIABLE, le Papillon

Ce Crops sort souvent comme correction mais jamais pour la même problématique. 

Hailey-Wood Ashbury Oxfordshire 07-07

Ainsi, au départ il est sorti comme régulateur de la Rate énergétique (Spleen Chakra) puis comme réharmonisateur pour le concept de nocivité et il pourrait aussi servir pour reconnecter une personne à la légèreté de vivre. A vous de voir...

Focus COHERENCE

Ci-après, un Crops, qui pour certaines personnalités, est très efficace pour recréer de la cohérence. Mais, pour les autres, l'effet est totalement inexistant. 

Comme pour le Crops précédent, on voit bien ici l'importance du biotest. Même si l'esprit humain essaye d'unifier, de généraliser, la réalité du terrain, c'est que nous sommes tous uniques et donc différents. En Crops-thérapie comme en Homéo-thérapie ou en Olfacto-thérapie, le biotest est la clef. 

Intégrer le "PRINCIPE d'UNITE" 

Le Crops ci-dessous cultive (culture) le principe de d'Unité. Il peut aider, permettre à l'homme (cellules humaines = cercles sur le crops) l'unification d'une conscience individuelle vers une conscience collective. 

Focus "HILARION"

Pour finir, pour celles et ceux qui travaillent avec ce type d'énergie, voici un Crops qui permet une très bonne connexion à l'énergie de Hilarion. 

On le voit le champ d'application et d'expérimentation des Crops comme nous les nommons dans cette newsletter, est large voire trop large. Il y a donc encore de très nombreux Crops à découvrir pour des applications en Thérapie Quantique. 

Anonyme du IIIème millénaire

Pistes de Street-Art 

Reprenons le dernier Corps de l'article précédent et transformons-le en"street-art" :

Et oui, comme vous pouvez le vérifier vous-même au biotest, l'image ci-dessus a les mêmes capacités de connexion à Hilarion que la photo originale du crop-circle ! Étonnant, n'est-ce pas. 

Via des affiches bien pensées, on peut donc permettre au promeneur des connexions sympas. Il s'agit ici plus d'ouverture que de thérapie bien sûr, mais c'est tout de même très intéressant à savoir. D'autant plus que les publicitaires utilisent déjà ce canal de communication pour des informations bien moins pertinentes ... à mon sens. 

Ci-dessus l'affiche du film"SIGNES" qui "connecte bien". En quittant le monde des Crops, une affiche de Stonehenge serait un bon focus universel pour une connexion .... aux annales akhasiques (et au Celtisme bien sûr). 

Bonne inspiration.

Livre : Se Transformer par l'Ethérapie

La principale source d'articles de ce livre est la newsletter "Radiesthésie Holistique" qui devint "Radiesthésie Quantique". Cette newsletter a été distribuée par abonnement gratuit en email au fur et à mesure de 1999 à 2012. Le livre des archives complètes est d'ailleurs en vente via la plate-forme Lulu.com 

Pour ce nouvel ouvrage -uniquement disponible chez Lulu,com -, seuls les articles concernant l'Ethérapie et son approche ont été retenus (soit les 2/3 du livre). Ils ont tous été retravaillés en tenant compte du nouveau contexte : Ethérapie et année 2013. 

De nouveaux "articles-chapitres" ont été ajoutés afin de pouvoir servir de livre de référence à toutes celles et ceux qui ont été formés à l'Ethérapie. 

Pour les lecteurs de la news, voici, en exclusivité, un des chapitres, page 203 à 214...

Une thérapie Quantique: explication du modèle 

Au vingtième siècle deux grandes théories majeures sont venues bousculer les principes de la physique classique : la théorie de la relativité d'Einstein et la physique quantique. Celle-ci en s'appuyant sur de nouveaux postulats a été une véritable révolution conceptuelle ayant des répercussions dans de nombreux domaines, même en philosophie ! Ainsi la physique quantique propose un modèle permettant d'expliquer notamment certaines expériences et pratiques de soins comme l'homéopathie ou les soins à distance. Derrière chaque loi de la physique quantique, nous allons retrouver un des principes appliqués en Ethérapie. 

Histoire d'un modèle

Afin de bien appréhender l'approche Quantique thérapeutique ou philosophique, commençons par un voyage dans le temps au niveau de l'atome. La page suivante présente l'évolution du modèle de l'atome d'Epicure à Bohr et Broglie. 

Cette histoire en images est une belle symbolique de nos changements de conscience :

On le voit, même si c'est toujours le modèle de 1913 qui est dans le livre de classe en... 2013, le quantique est en route !

Inspiré des pages 33 à 35 du livre "Le Cantique des quantiques : Le monde existe-t-il ?" de Sven Ortoli & Jean-Pierre Pharabod 

Quantification : les quantas

Vers 1900, Max Planck découvre que dans le monde subatomique, il y a une discontinuité des échanges d'énergie entre matière et rayonnement. Ces échanges s'effectuent par paquets d'énergie, par quanta. Niels Bohr, en 1913, vérifie que cette discontinuité se retrouve au cœur de l’atome puisque les électrons occupent des orbites spécifiques et passent de l’une à l’autre sans aucune orbite intermédiaire, on dira par saut quantique ou par résonance. Désormais, les particules subatomiques ne sont plus des grains de matière solide mais des quanta : des paquets d'énergie en perpétuelle transformation, des particules appartenant à des systèmes dynamiques qui inter-réagissent par saut, par résonance, par quanta. 

Toute vie est information et énergie et non pas juste matière

En Ethérapie nous considérons que tout notre être est quantique, tout notre être est un système dynamique en perpétuelle transformation. Comme pour l'électron qui "saute d'orbite", d'une orbite à l'autre, nos états internes peuvent changer par résonance, un saut quantique de conscience est possible. 

Dualité onde corpuscule

Avant 1923 une entité subatomique était soit corpuscule (on dit souvent abusivement particule) soit onde. En 1923 Louis de Broglie montre qu'en physique quantique une particule est à la fois corpuscule et onde, mais elle n'est ni corpuscule ni onde ! Ainsi les électrons, les atomes, les molécules ou même les photons ‒ les grains de lumière ‒ sont tout à la fois de petits corps et des ondes ! C’est la propriété de base du monde quantique.

La quantification : un univers discontinu

Dans le monde quantique, les particules n’ont droit qu’à certaines énergies. Un peu comme une voiture qui ne pourrait rouler qu’à certaines vitesses et passerait brusquement de 50 à 70 km/h quand elle accélère ! Pourquoi ? Parce que les particules sont des ondes et n’ont pas n’importe quelle forme : à chaque forme son énergie, c’est la quantification.

Ces paliers d’énergie permettent de comprendre la structure des atomes et de créer de nouveaux outils technologiques. 

Les pierres précieuses sont naturellement quantiques !

La quantification des énergies se retrouve dans notre quotidien, par exemple dans la couleur des pierres précieuses. Ainsi, le rubis est rouge car il contient quelques atomes de chrome dont les paliers d’énergie sont séparés de telle sorte que le rubis renvoie à notre œil une lumière rouge. 

La manipulation astucieuse de ces paliers d’énergie par les physiciens a permis d’inventer les lasers (monochrome) ou les LEDs.

dualité onde corpuscule ... suite...

En parallèle, on démontre que chaque particule en mouvement vibre sur une fréquence propre à l'information portée. 

Ces infos porteuses d'énergie sont à la fois ondes et corpuscules c'est-à-dire matière en interaction. Le fait d'être ainsi en interaction les unes avec les autres va venir constituer des champs électromagnétiques qui nous entourent. Tous ces champs rassemblés forment eux- même un grand champ global que l'on nomme maintenant : le champ d'informations quantiques. 

Cette loi de la physique quantique se retrouve exprimée en quelque sorte, en Ethérapie, de la façon suivante :

"Je suis une somme d'informations spécifiques 

aussi je vibre sur une fréquence qui m'est particulière" 

En Ethérapie l'objectif est d'accompagner la personne à rayonner qui elle est, à retrouver quelle est sa "fréquence juste". Faire la part de ce qui appartient à l'autre, aux autres et ce qui est de sa responsabilité, satisfaire ses besoins fondamentaux en s'acceptant tel que l'on est et en posant les actes justes. 

La vie est donc mouvement et le mouvement est la vie. 

Au niveau quantique, chaque particule est constamment en mouvement, sans position pré-déterminée à 100%, ... sauf en cas de mesure ou d'observation (importance de l'observateur comme en systémique). 

Dès que nous bougeons notre corps nous mettons l'énergie de vie en action, nous nous connectons à ce qui crée la vie.En Ethérapie la médiation corporelle est une clé, aussi à chaque patient est enseigné un certain nombre de mouvements qui lui sont spécifiquement adaptés afin qu'il se recentre sur l'énergie de vie.

Phénomène de résonance

Comme pour l'électron qui "saute d'orbite" d'une orbite à l'autre, nos états internes peuvent changer par résonance, un saut quantique de conscience est possible !

Le phénomène de résonance se vit en conscience par ce que l'on nomme en psychologie et en philosophie un "Insight" :

En Ethérapie on dit que la résonance provoque une nouvelle connexion de signification, modifiant la notion que le sujet a de lui-même. La personne est saisie par une évidence nouvelle pour elle, qui change la perspective, fait évoluer ses représentations du réel et libère une énergie pour un changement de comportement. Cet "Insight", cette résonance, cette prise de conscience peut même faire basculer une personne dans un changement de comportement qui semblait impossible. 

Toute la difficulté est de provoquer l'insight, car il faut une résonance exacte entre ce qui est proposé par le thérapeute et le vécu subjectif de la personne. Le biotest est l'outil clef de l'Ethérapie qui rend possible cette adéquation "résonante". 

Principe d'incertitude:

Le principe d'incertitude ou principe d'indétermination (Heisenberg 1927), énonce que, pour une particule donnée, on ne peut pas connaître (observer avec mesure) simultanément sa position et sa vitesse. 

Le choix de la caractéristique observée est donc primordial, de plus comme le démontre l'expérience des fentes de Young, l'observateur agit sur le système et la mesure. 

Quand on choisit d'observer quelque chose ou quelqu'un, le regard que l'on porte n'est jamais neutre. Nous sommes imprégnés par notre histoire personnelle, par notre milieu culturel, etc. Autant de filtres au travers desquels nous percevons le monde et dont nous nous servons pour en rendre compte. S'il s'agit d'observer une expérience en cours, notre vision va être structurée de façon à voir ce qui est adéquat par rapport au projet de recherche ou au sujet de l'expérience. 

Ceci explique ce que l'on nomme le pouvoir de l'intention. D'où l'importance d'être conscient de ce qui nous motive et de régulièrement revérifier si d'une part, nous sommes toujours bien clairs avec notre but et si, d'autre part, nous n'avons pas une arrière-pensée susceptible de créer de l'incohérence entre nos pensées et nos actes. 

En Ethérapie, le pouvoir de l'intention peut se dire comme :

Complémentarité matière anti-matière

... à tout événement correspond un anti-événement !

Intégrer les opposés, que tout existe dans la nature, comme nous le propose l'approche Taoïste, permet de ne pas bloquer l'évolution, son évolution.

La lumière ne se découvre qu'avec l'expérience opposée, aussi en Ethérapie, un choix de vie permet de savoir soit si "ceci me convient " soit si "ceci ne me convient pas". Toute expérience est donc utile si j'en tire la conclusion, "la leçon".

Principe de non-séparabilité ou d'intrication 

La non-séparabilité encore appelée effet EPR (pour Einstein Podolski Rosen) est un phénomène quantique qui heurte le sens commun. Ce phénomène est désormais solidement établi sur le plan expérimental et remet en cause l'idée de localité des objets.

Voyons de quoi il s'agit:

La première expérience célèbre date de 1982, Alain Aspect a montré que deux particules qui sont entrées en interaction à un moment donné gardent chacune des informations sur l'autre même si elles se trouvent éloignées l'une de l'autre. L'expérience fut reconfirmée en 1997 par Nicolas Gisin sur une distance de dix kilomètres entre les deux particules et depuis par de nombreux autres laboratoires (plus de 100Km en 2012). 

Donc deux particules ayant interagi restent en corrélation même si la distance qui les sépare est suffisamment grande pour qu'aucun rayon lumineux ne puisse les joindre durant le temps de l'expérience (on parle bien ici d'un transfert d'information qui va plus vite que la vitesse de la lumière). De plus, s'il existe une indétermination, elle perdure et ne sera levée que lors de l'observation (ou la mesure) d'une des deux particules (principe de Heisenberg).

Un modèle possible peut être qu'il existe une forme de transfert d'information instantanée. Et effectivement les dernières applications nommées "Téléportation quantique" le montrent par l'expérience (sur quelques atomes seulement pour l'instant).

D'un point de vue métaphysique, si l'on considère que nous venons tous du Big-bang, alors nous avons tous été en intrication forte au départ, donc depuis nous sommes toujours reliés, nous faisons partie d'une "totalité indivisible" de l'Univers.

Cette conclusion philosophique que l'on nomme aussi "non espace - non temps" explique le phénomène de l'intuition comme celui du travail à distance. En effet, l'information étant présente partout et à chaque instant, il "suffit" de la connecter. 

Une autre incidence de cette notion de "non-espace non-temps" des informations va concerner tout ce qui est en rapport avec la mémoire et la mémoire dite "mémoire-cellulaire". La physique quantique nous dit qu'à partir du moment où nous avons été en contact avec une information nous en gardons l'empreinte. L'information étant présente partout à chaque instant, on comprendra que se souvenir systématiquement de tout est inutile. Si je n'ai pas besoin d'une info : je l'oublie et elle resurgira à ma mémoire le jour où j'en aurai l'utilité. 

Applications en Physique Quantique 

L’effet tunnel

Une particule quantique peut parfois traverser les murs, comme si un tunnel invisible s’ouvrait à elle ! Imaginons un électron lancé contre un mur. Si le mur est épais, l’électron rebondit, ce qui paraît normal. Mais l’électron est quantique et se comporte comme une onde. Si le mur est très fin, l’électron peut parfois passer au travers. C’est l’effet tunnel, un des effets au cœur des nanosciences.

L’effet tunnel dans votre clé USB et capteur photo CDD

Dans une clé USB ou un téléphone portable, la « mémoire flash » utilise l’effet tunnel massivement ! Tous les composants électronique miniatures peuvent bénéficier du modèle quantique : diode à effet tunnel, microscope électronique, cellule photo ultra-sensible CDD, LED faible consommation, laser et bien sûr "mémoire flash" mais aussi CPU d'ordinateur via les supraconducteurs...

Crédits : www.ToutEstQuantique.fr

De la même façon, on comprendra qu'en posant l'intention d'un soin ou l'intention d'une connexion à un lieu, on aura toutes les informations nécessaires. 

Enfin voyons un dernier point lié au fait que ce champ d'informations soit présent partout et à chaque instant : c'est le phénomène de l'intuition. Cette connaissance directe et immédiate qui n'est issu d'aucun raisonnement est aussi nommer : instinct, flair ou pressentiment. Chacun d'entre nous a pu vivre cette expérience quand - sans qu'il puisse expliquer ni savoir pourquoi - il a eu le réflexe de freiner "sans raison" et qu'il s'est avéré, quelques secondes plus tard, que c'était très utile de le faire. Ou encore de sentir qu'il fallait plutôt prendre tel chemin ou telle décision et non faire comme d'habitude etc. L'Ethérapie intègre complètement ce phénomène dans son approche et apporte le cadre nécessaire pour pouvoir le vivre comme un plus. 

Synergie de principes quantiques

Analysons un cas d'école sur les bases du modèle Quantique appliqué à la psychologie humaine. Qu'est ce qui se passe quand une personne fait un tirage de cartes avec un médium c'est-à-dire une personne qui a la faculté d'utiliser les cartes comme focus pour, de façon naturelle et spontanée, recevoir des informations du quantique ? Elle peut lire le passé puisque que tout est présent dans le quantique. Et le futur ? Il va être très important de comprendre qu'à ce moment-là le futur est un ensemble de probabilités qui, si et seulement si tout demeure constant dans la dynamique qui est lancée, aboutira à tel ou tel résultat. Sachant que tout change constamment autour de nous, et que nous avons le libre arbitre de réorienter notre vie à chaque instant, il est évident que les conclusions d'une telle séance ne sont pas du ressort de la fatalité. Elles viennent justes nous mettre en garde ou nous conforter sur le type de chemin dans lequel nous nous sommes engagés. 

En Ethérapie on insiste souvent sur le fait que, si on ne peut pas changer le passé, en revanche on peut à tout instant choisir de se positionner autrement et choisir d'avoir un autre regard sur ce qu'on veut faire de sa vie aujourd'hui pour un futur meilleur. Et si pour connecter ce futur, l'intention est le point clef, il ne faut pas oublier que la matière peut avoir besoin de temps pour se restructurer. Il sera donc important de maintenir son intention dans la durée et de l'ancrer dans la matière. En Ethérapie pour maintenir cette nouvelle dynamique sur sa lancée, on associera un mouvement de médiation corporelle à pratiquer sur trois semaines en général. L'éthérapeute peut également être amené à conseiller une homéopathie ou une fleur de Bach, produits qui sont éminemment quantiques puisque essentiellement à base d'informations. Ainsi la personne pourra rester en résonance avec ce qui est juste à mettre en place pour elle. 

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N°10 Printemps 2014

Externalisation, EEE : Externalisation, Ego et Evolution

Introduction

Le chemin qui conduit à la sérénité et au bonheur passe obligatoirement par la connaissance de soi. Et celle-ci est tributaire d'un certain nombre d'étapes. Nous allons aborder dans cet article la première étape indispensable à franchir et à dépasser pour entamer le chemin de notre évolution. Il s' agit de l'acceptation du fait que nous sommes seuls responsables de notre état intérieur.

Beaucoup de livres, d'articles, de méthodes, parlent de notre pouvoir de co-création. Mais l'angle sous lequel ils le présentent en faisant principalement référence à une réalisation de nos désirs n'est guère constructif. Bien au contraire, il entretient et renforce plutôt l'illusion que:

Peu expliquent que ce pouvoir de co-création est avant tout à exercer dans la relation avec nous-mêmes et qu'il concerne essentiellement notre état intérieur. 

Prendre la responsabilité de ses émotions, de ses difficultés ou de ses stress est absolument incontournable pour celui qui a une démarche de développement personnel et spirituel.

Qu'est ce que cela signifie concrètement?

Cela implique de cesser d'externaliser. C’est-à-dire de penser, croire que, si nous souffrons d'une situation, c'est la faute de l'autre, de la société, etc. De la même façon, c'est cesser de penser et de croire que c'est à l'autre de nous rendre heureux, de nous donner de la reconnaissance ou de changer de comportement.

Pourquoi est-ce que cela constitue une véritable prise de conscience exigeant une volonté d’évolution sans faille? 

Tout simplement parce que ce réflexe d' externalisation a été mis en place dès l'enfance et correspondait à une stratégie de défense vis-à-vis de l'extérieur. Pour nous protéger, nous adoptons l'habitude de travestir la réalité. Par exemple l'enfant qui revient avec une mauvaise note, rejette sur le professeur la cause de son échec: "de toutes les façons il ne peut pas me voir". De même le sportif qui fait une contre-performance, pour ne pas entacher l'estime de lui-même, va évoquer comme justificatif les conditions météo ou une défaillance de son coach. 

Si nous regardons ce phénomène sous l'angle de la psychologie, on appelle cela le phénomène de projection. Ainsi une personne en proie à des pulsions, des pensées, des désirs qu'elle ne peut reconnaître pour siens utilise un mécanisme de défense imaginaire. Elle les déplace sur autrui. Les projections permettent une première adaptation à la vie et sont incontournables. Mais la plupart du temps elles finissent par perturber, voire empoisonner les relations entre les personnes. La difficulté vient du fait qu'elles préexistent à toute forme de conscience et sont en quelque sorte un phénomène naturel. Chacun gagnera à les reconnaître et à les intégrer. Mais nous comprenons bien, également, que, le refus d'entrer dans cette démarche puisse être guidé par la peur de se confronter à son intériorité. Effectivement il faut beaucoup de courage et d'humilité pour entamer une démarche de développement personnel. 

Oser se demander si, ce que l'on reproche à l'autre, vient peut-être de soi! Oser se dire, que l'on reporte peut-être dans sa vie actuelle, des conflits vécus dans le passé! "Est-ce que je ne suis pas en train de régler mes comptes avec mon père toujours absent quand je critique mon compagnon ou tous les hommes?" Une telle attitude exige des efforts et de la constance. C’est oser aller voir toutes les facettes de nous-mêmes que nous n'acceptons pas, que nous jugeons ou refoulons. C'est aborder ce que Jung a appelé nos ombres. Or lorsque je croise quelqu'un qui éveille en moi ces parties que je rejette, je vais ressentir un malaise. 

L'autre agit comme un miroir. Si nous ne pouvons pas reconnaître que nous avons le même problème (peut-être sous une autre forme et dans un autre domaine) nous attribuons à l'autre la source de notre malaise. Ainsi, par exemple, je reproche à l'autre d’être trop dépensier. Ma démarche devrait être avant tout de me demander: "Y-a t il un domaine où moi aussi je dépense sans compter?". Cela peut être par exemple mon énergie comme un domaine où je m'investis beaucoup trop. Ma réaction peut aussi être en lien avec quelque chose que je m' interdis alors que l'autre se l'autorise sans souci. Par exemple l'autre sait se reposer et ne rien faire et moi je suis incapable de cela. Alors quand je le vois dans un fauteuil à lire tranquillement je ne le supporte pas. Autre cas: Ce qui me fait défaut je ne peux le tolérer chez l'autre: je ne supporte pas telle personne, car elle réussit dans un domaine où je suis loin d’ être à l'aise, etc.

Nous comprenons bien les conséquences d'une telle attitude. À partir de l'instant ou j'externalise cela, signifie que je transfère à l'autre quelque chose qui m'appartient. Je vais lui demander de prendre en charge la gestion de mes émotions ou des situations qui me stressent en le rendant responsable de mes mal-êtres, de mes échecs, etc. Je perds mon pouvoir, je deviens dépendant du bon vouloir des autres, etc. avec toutes les peurs qui peuvent s'y raccrocher: la peur d'être abandonné, d'être rejeté ou trahi, etc.

Mais je crée aussi toute une série d'attentes. Or les autres ne sont pas là pour satisfaire nos attentes et d’ailleurs, comme par hasard, ils y répondent très rarement. Nous savons par expérience que: qui dit attente déçue dit forcement frustration et donc souffrance. Avec en parallèle une incapacité à accueillir ce qui se passe dans l'instant puisque toute notre attention est occupée à attendre quelque chose de précis et qui de plus n'arrivera jamais. 

Le comportement de l'autre me dérange ou me fait souffrir: premier réflexe je pense que c'est l'autre qui a un problème. Or c'est celui qui est dérangé ou qui souffre qui a le problème. C'est à lui de travailler soit pour changer son point de vue et accueillir l'autre dans sa différence soit s'il s'agit d'un comportement réellement inadmissible portant atteinte à son intégrité pour changer de contexte et d'environnement. 

Dans le désir d'une vie de couple, on rencontre également beaucoup la croyance que c'est l'autre qui va nous rendre heureux et parfois même: l'autre doit me rendre heureux! Comment quelqu'un d'extérieur pourrait-il savoir nous rendre heureux alors que nous-mêmes ignorons comment faire? L'attitude juste n'est-elle pas d'abord de savoir-être heureux soi-même?

Conclusion

Tant que nous choisissons d'externaliser nous ne pouvons ni évoluer ni co-créer de bonheur. Nous sommes enfermés dans une spirale descendante qui exige pour en sortir de renoncer à un réflexe archaïque devenu plus pénalisant que bénéfique.

Prendre conscience et accepter que c'est notre façon d'interpréter les événements qui est à la source de notre état intérieur et cesser de rendre l'extérieur responsable de nos mal-êtres est vital pour celui qui désire se co-créer plus de joie et de paix intérieure.

Métaphores, 10 standards + 2 (court grenouille et escargot)

Pour celles et ceux qui aiment ou savent raconter, la métaphore est un outil thérapeutique performant. En effet elle s'adresse subtilement à notre inconscient via le symbolisme de la situation qui permet de s'identifier "sans risque pour l'Ego".

Parmi les 10 métaphores standard du cursus d'Ethérapie, vous pouvez retrouver les 4 premières sur le site : Etherapie.fr/dossiers

Je vous propose aujourd'hui de découvrir 2 métaphores "hors cursus" qui peuvent se révéler très parlante en relation d'aide. Bien sûr, le biotest sera notre meilleur guide, mais la deuxième "histoire" sort très souvent lors des consultations dont la problématique est métaphysique. Alors, si vous ne les connaissez pas déjà, autant vous en faire profiter, fidèle lecteur de la newsletter. 

Métaphore de la course de la grenouille

Il était une fois une course... de grenouilles. L’objectif était d’arriver en haut d’une grande tour. Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir. La course commença. En fait, les gens ne croyaient pas possible que les grenouilles atteignent la cime et toutes les phrases que l’on entendit furent de ce genre : "Inutile !!! Elles n’y arriveront jamais !" Les grenouilles commencèrent peu à peu à se décourager, sauf une qui continua de grimper et les gens continuaient : "... Vraiment pas la peine !!! Elles n’y arriveront jamais..." Et les grenouilles s’avouèrent vaincues, sauf une qui continuait envers et contre tout... A la fin, toutes abandonnèrent, sauf cette grenouille qui, seule et au prix d'un énorme effort, rejoignit la cime. Les autres, stupéfaites, voulurent savoir comment elle avait fait. L’une d’entre elles s’approcha pour lui demander comment elle avait réussi à terminer l’épreuve. Et découvrit qu’elle... était sourde !

N'écoutez donc pas les personnes qui ont la mauvaise habitude d’être négatives... car elles volent les meilleurs espoirs de votre coeur ! Rappelez-vous du pouvoir qu’ont les mots, restez toujours positif et soyez sourd quand quelqu’un vous dit que vous ne pouvez pas réaliser vos rêves. Enfin, n'oubliez pas que ce quelqu'un peut être... vous ou plus exactement votre ego.

Histoire d’une salade et d’un escargot.

Un sage se promène dans la campagne accompagné de trois de ses disciples.

Le premier aperçoit une limace sur une salade de leur potager et s’adresse au maître. 

Le second disciple semble décontenancé.

Le troisième disciple, plus que surpris demande:

La vérité est-elle aussi une notion relative liée à notre potentiel évolutif ? Aujourd’hui nous croyons avoir raison et dans un an nous penserons peut-être le contraire, avec la même bonne foi. Ce n’est pas forcément un revirement ou une renonciation, mais un simple complément d’information qui nous amène à reconsidérer notre point de vue comme un scientifique qui, ayant observé de nouveaux faits, se trouve dans l’obligation de reconsidérer ses hypothèses initiales et d’en formuler de nouvelles qui pourront s’intégrer dans un ensemble plus vaste et plus cohérent. 

Au nom de cette vérité relative et mouvante, il faut accepter de changer. Cheikh Bentounès, soufi et chef de la confrérie Alawiya, a écrit:

Remplacez le mot religion et le mot Dieu par le mot Vérité, et vous trouvez ici les fondements de la véritable tolérance universelle.

Merci à Aubert de m'avoir rappelé cette merveilleuse métaphore 

Autres liens et pistes

Le web, via les sites de thérapeutes ou de philosophes, regorge de métaphores, voici quelques liens :

L'après pyramide Maya 2012

Faisons le point: au 21/12/2012 aucune transcendance collective ni individuelle ne s'est effectuée! La vie a continué.Serions-nous ! des héros survivants à la fin d'un temps ou simplement, des humains continuant le chemin de l'évolution ? La deuxième solution semble s'imposer. Aussi, en reprenant la métaphore de la pyramide Maya, que découvrons-nous maintenant que nous sommes arrivés au sommet ? ...

On voit la jungle tout simplement. Et oui, un nouveau monde qu'il nous faut découvrir sans cartes ni références cosmologiques et dans lequel il est nécessaire de se faire un chemin. Le temps est venu d'oser expérimenter de nouvelles choses afin de, progressivement, poser de nouveaux repères.

Créer de nouveaux repères à travers un nouveau rapport à soi, aux autres et à la vie. Cela va donc d'abord passer par la capacité à renoncer à ses habitudes puis à celle de l'ouverture pour accueillir ce nouveau. Or les habitudes, même si nous pouvons être conscients qu’elles peuvent nous limiter, nous rassurent. Et si on ajoute que, dès l'instant où on veut changer d'habitude, l'Ego est là, on comprendra l'enjeu supplémentaire à traverser. Donc nous savons déjà qu’ il nous faudra observer et affronter les jeux de l'ego comme ses résistances. 

Il ne fait pas négliger la difficulté à s'adapter aux nouvelles énergies, d'autant plus que peut-être, nous aussi nous avons changé et muté ? Est-ce que ce qui était porteur de sens pour guider ma vie est encore valable aujourd'hui ? Il va donc falloir faire la part des choses dans ce passé d'où nous sommes issus.

La démarche peut commencer par aller revisiter les repères que l'on veut garder. Et ce que j'aimerai garder de l'ancien, il va falloir le revisiter par l'expérience et l'incarnation dans le cadre de ces nouvelles énergies. Cela se fera plus rapidement (en 3 mois par exemple pour quelque chose acquis en 3 ans), mais 3 mois tout de même. Une pensée de type : "Ah non, ça c'est déjà acquis, j'ai bossé dessus il y a 15 ans et pendant au moins 5 ans !" est normale, mais il faut oser y renoncer : "Bon, ok, alors puisqu'il faut revisiter, revisitons !".

Il y a donc "les choses" à revisiter pour les ancrer dans les nouvelles énergies, mais il y a aussi celles qu'on doit lâcher de façon non négociable. Par exemple l'attachement à la complexité doit être lâché pour passer à la notion de simplicité. Sinon ce qui nous attend va être au plus de la souffrance puisque nous devenons incohérents avec ce fameux nouveau monde. Simplicité, à ne pas confondre avec facilité : la simplicité peut demander des efforts (en plus!!!).

Notre meilleur atout pour ce nouveau dans lequel nous n'avons aucun repère ? Créer le réflexe de se recentrer régulièrement, de retrouver son unité intérieure alors que tout à l'extérieur invite à se disperser, à s'éparpiller, ou se vivre fragmenté. Et notre meilleur allié pour cela c'est notre corps et tout ce qui est de l'ordre de la médiation corporelle (respiration, mouvement neuro-sensoriel, qi-gong, yoga, pleine conscience, ..) et ceci... en toute simplicité ;o)

Notre meilleur indicateur ? Notre mieux-être tout simplement.

Alors bonnes trouvailles pour chercher des stratégies adaptées.

Revue de presse

Une revue de presse en lien direct ou indirect avec la news :

Ttuw 

Le protocole typique des approches quantiques basé sur les 2 énergies universelles dont l'homme a besoin pour vivre et survivre sur Terre est maintenant disponible en ebook, en multilingues, pour moins de 1€ >>> TheTwoUniversalWords 

Qi-Gong No-Stress

L'outil de base de la méditation corporelle accessible à toutes et tous , les huit mouvements de brocarts ou Ba dua jin, est maintenant disponible en ebook Kindle pour moins de 1€ >>> Qi-gong-no-stress 

Le Transpersonnel 

Si l'on parle psychologie humaniste, c'est le mouvement du Transpersonnel qui est le plus cohérent avec l'approche "Thérapie Quantique". Le livre "Le Transpersonnel" répond à la question "Qu'est-ce que c'est ?" et bien plus >>> LeTranspersonnel.fr 

Pleine conscience & Quantique 

Cette définition du dictionnaire met en avant la conscience comme source de connaissance de soi et du monde. Et effectivement, en nous permettant d'avoir connaissance de nos états, de nos actes et de nos valeurs morales, la conscience nous permet de nous sentir exister et d'être plus présent à nous-même. Elle peut même nous aider à donner un sens spirituel à notre vie.

Pour augmenter notre conscience spirituelle, quatre portes semblent possibles : physique, émotionnel, mental et spirituel (le PEMS de l'Ethérapie). 

souvent traduit par :

Le mental n'est donc pas la bonne porte. 

Le spirituel étant l'objectif, celui-ci ne peut être la porte, le moyen

La porte peut-elle être celle du plan émotionnel ? Oui, disent les textes anciens, s'il s'agit de dévotion et que l'état de non-attachement est atteint. Alors :

Sinon, passer par le cœur, c'est passer par le piège des émotions et de l'amour conditionnel. Tout un programme très difficile à réussir, lâcher-prise et non-attachement étant plus souvent des concepts que des réalités vécues.

Reste donc, comme porte possible et plus facile, celle du plan physique. Dans ce cas l'ouverture de la conscience s'obtient tout simplement par le ressenti corporel. Assez naturellement, la prise de conscience corporelle va induire un lâcher-prise du mental et de l’Ego ! 

Mais qu'elles sont ces pratiques à médiation corporelle "si faciles" pour élever notre conscience ?

Respirer en pleine conscience

Pour sortir des réflexes conditionnés et des habitudes respirer en conscience est une méthode à la portée de toutes et tous. Le Yoga, le Qi-gong, la Sophorologie, la marche afghane et bien d'autres approches intègrent la respiration consciente. On peut noter tout de suite que ces approches intègrent aussi le quatrième point : "bouger en pleine conscience" et souvent le deuxième : "Méditer en pleine conscience".

La première prise de conscience primordiale est souvent celle que nous sommes co-créateur de notre bonheur ... comme de notre malheur. 

L'impact de cette prise de conscience est énorme en tant que cheminement spirituel, elle permet de cesser progressivement d'externaliser (voir autre article dans la news).

Manger en pleine conscience

Lorsqu'on mange avec sa tête, ce peut-être avec méfiance, voire la peur au ventre. Quand on contrôle mentalement son alimentation en vue de maigrir ou de ne pas grossir, c'est ce que l'on appelle la restriction cognitive. Et si la volonté fonctionne à court terme, à moyen terme, on regrossit dans 90% des cas, non sans avoir fréquemment aggravé ses problèmes pondéraux et perdu sa propre estime nous dit le Dr Gérard Apfeldorfer dans l'introduction du livre de Jan Chozen Bays "Manger en conscience"

Le livre de Jan Chozen Bays montre qu'avec la pratique il est possible de faire de la pleine conscience le fondement solide d'une dynamique de prise en main et de guérison globale.

À la Clinique de réduction du stress de l'Université du Massachusetts, nous dit Jon Kabat-Zinn, la première forme de méditation que nous proposons généralement consiste à manger, lentement et consciemment, un seul raisin sec. Lorsqu'il est bien guidé, cet exercice peut durer jusqu'à cinq minutes et même plus. Les participants, qui sont pour la plupart déjà suivis par un médecin, ne s'attendent pas à ce que la méditation ou les techniques de réduction du stress soient appliquées à l'alimentation, ce qui, soit dit en passant, permet de dissiper bien des clichés sur la méditation. 

Méditer en pleine conscience (mindfulness) 

Dans les années 1970, le professeur de médecine américain Jon Kabat-Zinn fut l'un des premiers à appliquer la pratique de la mindfulness ("pleine conscience") à la gestion du stress et au traitement de la douleur chronique. 

On peut dire que la méditation pleine conscience - mindfulness - est une adaptation de pratiques tibétaines ou yogis où tout le côté religieux a été supprimé. 

L'idée est simple, être conscient de notre corps et pour cela l'observer. En effet, nul besoin n'est nécessaire de porter son attention ou son intention vers l'extérieur, l'approche Quantique nous rappelle que ces énergies spirituelles sont a-locales et a-temporelles donc dans mon genou gauche, il y a aussi l'énergie-information de : Orion, Jésus, Ganesh, les pyramides d'Egypte, ...

"Vouloir connecter une énergie spirituelle extérieure", est, dans ce cadre une quadruple erreur :

Pour ce dernier point, rappelons le célèbre texte d'Hermès Trismégiste sur la correspondance entre le macrocosme et le microcosme: 

Le modèle hologramme nous dit que tout est en tout, donc inutile d'aller dehors, à l'extérieur, nous avons déjà tout dedans, à l'intérieur.

Évolution de la conscience

Au cours de notre développement spirituel, notre conscience s'élargit, nos pensées se clarifient, nos émotions s'apaisent. Toutefois il ne faut pas se représenter l'avancement comme un chemin linéaire. Il s'agit plutôt d'une spirale d'évolution. 

Le long de ce chemin, l'éveil, c.-à-d. vivre la réalité de chaque instant telle qu'elle se présente sur notre chemin est souvent un objectif. Or, comme nous le dit Kiara Windrider dans "Le feu du ciel", l'éveil concerne simplement le fait de voir la réalité telle qu'elle est vraiment... L'éveil est le passage de l'ego à l'essence. C'est un événement neurobiologique qui peut survenir à travers la grâce. Les pratiques spirituelles du monde entier ne sont qu'une préparation à cela. 

Ce qui indique peut-être qu'une personne est en état d'éveil, c'est qu'elle n'essaie plus de le devenir. En fait, elle n'essaie plus de devenir quoi que ce soit, elle vit pleinement qui elle est. (Kiara Windrider dans "Le feu du ciel")

Une personne dite éveillée ne sera plus identifiée à ses vécus. De plus quand on entre dans cet état, on découvre la joie d'être.

Conclusion

En fait, tout peut devenir une méditation, une expérience de pleine conscience; il "suffit" d'être présent à l'expérience vécue, c'est-à-dire d'en être totalement conscient. Tout un programme qu'une vie peut ne pas suffire pour le finir. 

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N°11 Été 2014

Confusion, EEE : Externalisation, Ego et Évolution

Introduction

Depuis décembre 2012 nous ne cessons de parler des nouvelles énergies et de la nécessité de mettre en place de nouveaux repères, c'est-à-dire de nouvelles façons de guider notre vie. Nous savons aussi que c'est à partir de ces nouvelles attitudes d'esprit que pourront en découler de nouveaux comportements. D'où l'importance d'écrire ses tables de la Loi. Ce sujet ayant déjà été abordé dans un article précédent, je vous propose d'évoquer aujourd'hui certaines difficultés que nous pouvons rencontrer et qui sont essentiellement liées à de la confusion.

Confusion sur la simplicité

La première de ces confusions concerne l'une des nouvelles valeurs de l'ère du Verseau : la notion

de simplicité. Ce qui est simple va être par définition clair, facile à comprendre, facile à faire, facile à utiliser, facile à appliquer. Et voilà le piège, car le pas peut vite être franchi de faire l'amalgame avec la facilité. Pourquoi est-ce un piège que les assimiler comme synonymes ? Et bien la facilité du fait qu'elle induit l'absence d'exigence, l'absence d'effort ou de difficulté va créer l'illusion que la simplicité est automatiquement facile, accessible sans effort, etc. Or nous avons tous de nombreuses preuves qu'abandonner la complexité dans une société où celle-ci est valorisée n'est pas une tâche facile. Il y a beaucoup de situations où la solution la plus simple nous paraît impossible à mettre en place, et ceci parce que nous n'avons jamais appris ou été autorisés à agir ainsi. Par exemple : je suis invité à une fête de famille et à chaque fois j'en reviens démoli. La solution la plus simple est de ne plus y aller parce que ce n'est pas une ambiance écologique pour nous. Mais pour cela il va falloir prendre sur soi - réviser sa notion de culpabilité, de bien, de mal, de "il faut" et oser confronter la famille ou trouver un prétexte acceptable par le reste du groupe pour expliquer son absence. Bref mettre en place toute une stratégie cohérente pour appliquer sa solution, car l'objectif final n'est pas de se couper de sa famille. Nous pouvons bien voir à travers cet exemple que ce qui est simple de prime abord n'est pas sans exiger de nous un certain nombre d'efforts donc rien à voir avec la facilité.

Confusion sur le lâcher-prise

La deuxième notion où il est très vite fait d'introduire de la confusion c'est celle du fameux lâcher-prise quand on l'associe à « il suffit d'attendre ». En effet lâcher-prise, devient alors synonyme de passivité, d'inertie, de laisser-faire. Or à quel moment va intervenir le besoin de lâcher-prise ? Que signifie cette attitude intérieure sur le plan mental ou spirituel ? Lâcher-prise signifie qu'il est devenu inutile de résister, il y a un processus d'acceptation à vivre, d'accueil d'une réalité contre laquelle il est inutile de s'opposer. Le grand classique sera par exemple de lâcher ses attentes envers les autres ! Rien à voir avec je deviens passif. Et si le besoin de lâcher prise est associé à : j ai posé des actes et j'attends le feed-back de l'univers pour savoir si ce que je propose correspond à un besoin, il sous-entend toujours une limite à ce temps d'observation et de pause. 

Confusion entre l'objectif et le moyen

Autre confusion très courante c'est celle qui va consister, au bout d'un certain temps, à assimiler le moyen à l'objectif. Exemple : je gagne de l'argent pour m'assurer de la sécurité et du confort. L'argent est bien le moyen de remplir mon objectif qui est la sécurité et le confort. Mais combien de gens ont oublié à quoi servait de gagner de l'argent pour n'être plus obnubilé que par le fait gagner de l'argent. Le moyen est bien devenu l'objectif. Autre exemple : Dans l'enfance pour ne pas souffrir (= l’objectif) nous mettons en place des stratégies (= des moyens). Ainsi pour ne pas souffrir j'ai appris à résister à la pression du contexte familial. Une fois devenue adulte, la personne développe des multitudes de stratégies pour « tenir le coup ». La résistance, qui était le moyen utilisé par l'enfant, est devenue l'objectif de l'adulte. 

Confusion entre se laisser guider et se laisser aller

Enfin dernier exemple de confusion possible, c'est celle qui peut être associée à l'attitude : "je me laisse guider par la Vie". La tentation, une fois de plus, peut être de glisser vers le : "je me laisse aller", et une forme de mollesse ou d'inaction qui peut s’avérer très préjudiciable sur le long terme. Si se laisser guider par la Vie peut être rapprochée de l'image d'aller dans le sens du courant de la rivière, cela revient à comprendre qu'autour de nous il y a des énergies présentes et que tout contexte inclut son potentiel de ressources. Ensuite c'est à nous de mobiliser ces ressources, de les utiliser, voire de les faire fructifier. Donc, comme le surfer sur sa vague, se laisser guider par la Vie c'est savoir saisir l'opportunité de chaque instant, ou de chaque rencontre, ce qui implique, nous l'aurons compris, un vrai investissement de notre part et une conscience à l'opposé de la passivité et du laisser-aller.

Conclusion

Nous voyons combien notre tâche est complexe et combien il est nécessaire plus que jamais de rester vigilant dans l'état d'esprit que nous désirons cultiver, dans l'intention exacte que nous mettons derrière nos pensées, nos paroles ou nos actes. Mais soyons rassurés nous avons 2000 ans pour faire face à ce vaste challenge de l'ère du Verseau.

La Perfection EST, la perfectude ... tue

Parmi nos patients, nombreux sont ceux qui ont fait de la perfection leur objectif sans réaliser quels sont les pièges qui se cachent derrière ce concept. 

Regardons ce que nous en dit le dictionnaire : « Perfection : ce qui est sans défaut, ce qui ne peut être amélioré. ». Ce qui est parfait serait donc quelque chose de terminé ou d'achevé. Ses synonymes sont également très parlants : « idéal, sainteté. » 

Viser la perfection n'est ce pas se condamner à l'échec ? N'est-ce pas entamer une quête impossible si on considère que chacun a sa définition de la perfection, et que c'est un concept donc totalement subjectif ? Considérons ce désir sous un autre angle. Et si derrière la recherche de perfection s'exprimait plus simplement le besoin de se perfectionner, de s’améliorer voir d'évoluer qui anime tout être vivant sur terre ? Déjà avoir pour objectif son évolution et non plus devenir parfait va changer son paysage intérieur et réduire considérablement son stress !

Qu’est-ce qui se cache derrière ce besoin de perfection au niveau inconscient quand il se manifeste de façon stressante ? 

Au départ dans l'enfance, faire ce choix peut être lié à un moment où nous avons été très à l'aise. Nous avons alors assimilé l'optimum de ce moment-là comme une perfection. Ensuite l'enfant - et la société ne le dément pas - croit que s'il se crée des conditions parfaites il sera toujours à l'aise. 

Prenons un exemple : à 14 ans je peux bien vivre les mathématiques et le formalisme ainsi : "c'est parfait je suis à l'aise avec cette façon de voir la vie". Je m'investis alors dans un parcours scientifique croyant qu'ainsi je serais toujours à l'aise donc que j'aurai une vie idéale. Mais une fois devenu adulte, force va être de constater que la vie justement n'est pas un long fleuve tranquille, n'est pas "mathématique". La nécessité de faire évoluer cette croyance va très vite s'imposer si je ne veux pas rentrer dans un autre système de souffrance. 

Dans le cas évoqué, la plus grande des confusions est liée au fait d'avoir assimilé la perfection à un objectif alors que ce n'était qu'une solution ponctuelle, conjoncturelle. 

La Vie est loin d'être "parfaite" au sens généralement admis. Par exemple, prenons un champ d'herbe : pas un brin d'herbe ne se ressemble. Donc, soit nous estimons qu'ils sont par définition tous parfaits, soit nous en choisissons un qui corresponde à nos critères de perfection, nous le dupliquons et, dans ce cas, notre champ d'herbe ressemblera... à une moquette synthétique ! 

Nous comprenons tout de suite que si la Vie était "parfaite" selon des critères de repères fixes, cela signifierait que nous sommes au summum de notre évolution. Dans ce cadre, il n'y a plus rien à atteindre ni à transcender, plus rien à faire grandir ou à développer, ce serait la mort... de nos aspirations au minimum !

Ce qui va être important, c'est de dissocier la solution de l'objectif ou encore le moyen d'atteindre l'objectif de l'objectif lui-même. Ainsi se poser la question : 

"Est-ce que moi, dans ce contexte, j'y trouve mon compte ?" 

ou 

"Est-ce que, moi, je réussis à être heureux ?" 

permet de revenir à l'objectif, de sortir de la confusion. Ensuite, partant de là, du constat par rapport à l'objectif "bien-être" par exemple, on peut entamer une démarche de recherche de solutions pour mettre en place un état intérieur serein. 

Travailler sur soi pour acquérir une autre vision de soi-même, des autres ou de la vie afin d'être sans stress dans n'importe quel contexte constitue un objectif constructif et structurant. 

Ne plus dépendre des conditions extérieures pour être à l'aise intérieurement permet même de ne plus se poser de question sur la "perfectude", peu importe alors que la vie soit parfaite ou imparfaite, on est bien !

Ci-dessous : Et oui, madame hippopotame trouve 

monsieur hippopotame PARFAIT, totalement BEAU.

Étude de Cas : Bizounours...

Nous avons déjà abordé à plusieurs reprises le cercle infernal du système « bourreau-victime-sauveur » dans ses deux aspects externe et interne. Voyons maintenant un cas concret de ce qui peut animer la fonction de sauveur : la croyance dans le monde des "bisounours". Dans cet univers idéal "bisounours", tout le monde est gentil. On se fait des cadeaux, on se sauve les uns les autres, on rêve d'harmonie entre les êtres, on se comprend, on se respecte, etc. 

Et si l'autre ne rentre pas dans ce cadre, c'est-à-dire ne vous respecte pas, ne vous remercie pas, se moque de vos besoins et de vos problèmes ! Ce n'est pas grave puisqu'un jour viendra où il sera touché par votre bonté et de lui-même choisira le camp de la gentillesse et de l'harmonie... Oui, mais voilà force est de constater que dans la plupart des situations notre sauveur-bisounours ne récolte qu'ingratitude, haine et mépris.

Prenons l'exemple d'un couple où l'un des deux accepte de se marier afin que l'autre puisse obtenir la nationalité française et faire bénéficier son père gravement malade du système de santé. C'est cette première personne qui vient en consultation et nous explique que son conjoint ne cesse de la dénigrer, de lui faire des reproches, etc. Elle ne comprend pas ces réactions étant donné tout ce qu'elle a fait pour l'aider à sortir de conditions de vie très difficiles. 

Que s'est-il passé dans une autre réalité ? En cherchant à sauver l'autre, en croyant lui faire le cadeau de la protection sociale, elle lui a ôté une marche d'évolution ! Elle l'a enchaîné en créant une dette que son conjoint ne pourra jamais rembourser. Celui-ci ressent inconsciemment que quelque chose est contre nature et qu'il s'agit d'une fausse aide. Effectivement avec cette dette, il a perdu son pouvoir sur sa vie. D'où la colère qu'il projette au lieu de la gratitude tant attendue. En interférant avec le karma de l'autre au nom du monde des bisounours, la personne n'a réussi à créer que de la souffrance de part et d'autre. 

Il est très important de se rappeler également qu'en plus du phénomène de la dette, à chaque fois que nous épargnons à quelqu'un de vivre les conséquences de ses actes ou que nous cherchons à interférer dans la vie d'un autre adulte, nous venons l'humilier. En effet nous envoyons le message que nous l'estimons incapable de prendre sa vie en main, incapable de prendre ses responsabilités ou de trouver des solutions. Le deuil du monde des bisounours est souvent la première étape. Aussi une correction adaptée va sortir au biotest en consultation afin d' aider à ce deuil. Ensuite, lors d'autres séances, la personne pourra commencer à sortir de son rôle de sauveur, tout un programme !

Ps : dans le tire Bizounours avec un Z comme Zorro le sauveur

Étude de cas : Ego ou instant présent

Une patiente nous expose ses avancées et conclue en nous disant : "Je suis très contente de moi !". Elle marque alors une pause réflexive et ajoute "mais peut-être est-ce mon ego qui me fait dire ça.". 

Nous avons là un magnifique exemple de l'action de l'ego qui vient nous faire souffrir. Reprenons en détail.

1- "Je suis très contente de moi !"

Est-ce que cette phrase crée de la souffrance ? Non. Est-ce que cette phrase crée de la souffrance chez les autres ? Non plus. Est-ce que cette phrase crée de la joie ou de l'ouverture ? Oui et des hormones de bonheur vont être libérées par le corps.

Mais, ... l'ego est là et connecte immédiatement le mental au passé. Dans le modèle judéo-chrétien, être content de soi peut être de l’orgueil, et l’orgueil vient de l'ego : CQFD (ce qu'il fallait démontrer)...

2- "mais peut-être est-ce mon ego qui me fait dire ça". 

En deux secondes l'ego a été rechercher tout ce qui pouvait arrêter le bonheur et lancer une bonne culpabilité, un bon malheur comme il en a le secret !

Et oui, il faut être très vigilant pour pouvoir profiter de l'instant présent et ne pas rentrer dans la souffrance que nous propose l'ego. 

Sonologie pour allez mieux

Comme astrologiquement parlant, les énergies du Verseau ne seront complètement implantées qu'en 2150, nous sommes donc en début de période transitoire. A priori, les seules informations qui ressortent unanimement pour ces nouvelles énergies du Verseau sont les 2 mots clefs : SIMPLICITÉ et COHÉRENCE. 

D'un autre côté, les mêmes sources - courants de pensée, mouvements spirituels, canalisations,... - mettent en gardent sur le fait que "nouvelles énergies" ne veut pas dire "anciennes énergies réactualisées", mais bien nouveaux repères, nouveaux modes de fonctionnement. 

Alors, comment travailler sur soi sans s'appuyer sur l'ancien, sur les outils ayant fait leurs preuves dans l'ère du Poisson ? 

Les anciens rituels et protocoles sont souvent complexes et nous éloignent d'eux-mêmes du mot "simplicité". De plus, vouloir les réaménager alors qu'ils étaient optimaux pour les énergies du Poisson nous prend en défaut sur le mot "cohérence". 

Plus de 500 jours après le 21/12/2012, nous vous proposons un premier bilan de ce qui marche bien de façon assez régulière. Ce sont des outils d'autothérapie. Ils sont donc à utiliser à chaque fois que l'on ressent un mal-être :

Le premier outil a été présenté dans la newsletter Thérapies Quantiques n°2 de décembre 2011 (Cf Tome 1). L'idée majeure est de nettoyer tous les programmes et tous les repères devenus inutiles. Le deuxième outil est le chant du cœur présenté dans la news n°8 de la rentrée 2013 (Cf Tome 2). Pour avoir un cadre facilitant, on peut l'associer au chant de voyelles (Mémento de la vie no stress p84-85 par exemple). Le lecteur attentif remarquera l'utilisation du mot "sonologie" et non "chant". Cela vient de nos anciens repères : chanter juste ou faux. Ici il s'agit de son, on recherche intuitivement, ou au biotest, celui qui est en résonance avec notre problématique. La notion de chanter juste ou faux n'a donc pas sa place. Enfin le troisième outil, le MNS pour mouvement neuro-sensoriel, a été présenté dans la newsletter Radiesthésie Quantique n°20 de février 2003 (Cf T1 ou archives complètes). Nous reviendrons d'ailleurs en détail sur ce "MNS" dans une prochaine news. 

Dans les trois cas, avec les trois outils, on part de la constatation d'un mal-être, par exemple j'ai mal à la tête et je suis sûr que ce n'est pas physiologique (sinon il faut aller consulter un médecin). On pose l'intention de mieux être : "Merci de dissiper ce mal-être si c'est écologique pour moi". Le "merci" ici est le rappel symbolique d'une démarche transpersonnelle, spirituelle, quantique. On va alors utiliser le SON pour libérer les tensions PEMS : physique, énergétique, mental ou spirituelle. Un son, un chant venant du cœur, le cœur considéré comme le centre de l'intuition ou de la connexion quantique à l'inconscient collectif. Le son supporté par une voyelle pré-testée ou intuitionnée est émis et vit, mute, se transforme jusqu'à dissipation du mal-être. Il s'agit donc d'un processus qui sera repris autant de fois que nécessaire dans la journée. 

Une problématique peut demander l'utilisation des trois outils et des pratiques répétées sur plusieurs jours voire plusieurs semaines. L’auto-discipline est la clef. 

Comme indiqué en début d'article, il s'agit d'une démarche d'autothérapie et elle est non mentale comme vous avez pu le constater. Les prises de conscience et les compréhensions ne seront pas formalisables, elles resteront subtiles, seul le résultat, la disparition ou l'atténuation du mal-être est la preuve de l'avancée sur le chemin. 

Pour finir, toujours dans l'idée de nouveaux outils devenus efficaces depuis le 21/12/2012, voyons une méthode pour régénérer en sonologie. Le principe a été découvert (redécouvert certainement ;o) par le Dr Tomatis. Voici ce que dit Hélène Delafaurie dans kindle "Soignez-vous avec des sons" :

Cette dernière phrase nous donne la clef, une clef toujours valable et même une clef qui s'élargit. Pour vous recharger, il va suffire d'écouter un son filtré qui ne laisse passer que les hautes fréquences. Et ça c'est très accessible en 2014 !

Je vais prendre comme exemple le lecteur multimédia gratuit VLC média-player afin de montrer le principe. Ensuite il vous sera très facile d'appliquer ce même principe à d'autres lecteurs de musique que ce soit sur votre ordinateur, votre chaîne Hi-Fi ou votre smartphone.

Le module qui va permettre de filtrer le son se nomme égaliseur ou équaliseur ou equalizer. Il sera réglé pour minimiser les basses (à gauche) et maximiser les aigus (à droite) :

Ensuite, vous écoutez vos musiques préférées, et au bout de 10 à 20 minutes, vous êtes rechargé :o) 

Le principe est toujours le même : chercher comment activer l'égaliseur, puis le régler en rampe.

L'avantage de VLC c'est qu'il offre l'option "2 passes" c'est-à-dire que le filtrage est deux fois plus efficace. 

Sinon sur le lecteur standard sur Windows, un clique-droit vous donnera accès au bon menu : Amélioration > Égalisateur graphique > Activer > Personnalisé :

Sur Androïd, l'application "Music Equalizer" donne satisfaction même s'il n'y a que "5 bandes" : 

Sur votre chaîne Hi-fi, si vous n'avez pas d'égaliseur intégré, mettez les basses à zéro et les aigus au maximum. 

Pour finir sur ce soin de "rechargement" il est intéressant de noter que les basses ne nous rechargent pas en général. Elles nous vident ! On comprend mieux les soirées avec des basses : elles permettent de se vider. Se vider de quoi ? De son émotionnel, de son mental en général. Sinon, seules des basses en résonance avec qui l'on est dans l'instant pourront jouer un rôle de connexion shamanique. Les tambours, d'un point de vue thérapeutique, doivent donc être "improvisés" dans l'instant, en fonction des personnes présentes et de leur objectif. Soutenir l'intention derrière un voyage au tambour nécessite donc une grande expertise et une belle connexion "quantique".

Comme on peut l'entrevoir ici, la sonologie n'est pas du chant-thérapie au sens où la notion de mélodie ou de notes n'y est pas. Ce n'est pas non plus de la fréquence-thérapie puisqu'il y a la notion de processus, de mutation et transformation des sons pendant le soin. C'est le yoga des voyelles qui est certainement le plus proche de l'idée "sonologie" telle qu'abordée ici. En l'absence actuelle de formalisation, de méthodologie, cette approche d'auto-thérapie sera donc réservée aux hyper-sensoriels et aux intuitifs ayant acquis un bon degré d'autonomie et de repères intérieurs. Ce seront d'ailleurs ces mêmes hyper-sensoriels et intuitifs pour qui l'approche sera la plus rapide et la plus efficace. On commence même à assister à des canalisations où ce sont des sons qui sont transmis !

Bonnes expériences sonologiques.

EMC & NDE & Conscience

En cette période exigeant de notre part le maximum de cohérence il peut être utile d'apporter un certain de nombre de précision sur un thème qui peut prêter à confusion et donc générer de l'incohérence dans nos intentions ou nos discours. Il s'agit de la notion d'état modifié de conscience et d'expansion de conscience.

Définition du mot conscience

Voici ce que nous dit le dictionnaire :

Ses synonymes sont également intéressants à relever, car ils mettent en avant toutes les facettes que peut avoir ce mot :

Souvent à travers la littérature, quand le plan spirituel est évoqué, il est dit que l'objectif de l'homme est d’élever son niveau de conscience, son travail est d'augmenter son degré de conscience. Qu’est-ce que cela peut bien signifier si nous nous en référons à la définition du dictionnaire jointe à une synthèse de ses synonymes :

Pour nous y aider, la pratique d' exercices, et l'usage de certaines méthodes qui permettent de cultiver un état de conscience élargi et affiné va être la solution. Ces techniques vont nous permettre de passer en état modifié de conscience, lequel pourra dans certains cas provoquer une expérience d'expansion de conscience.

Définition d'un état modifié de conscience

Sous l'étiquette "états modifiés de conscience" (EMC) se rassemble un certain nombre d'expériences au cours desquelles le sujet a le vécu subjectif que le fonctionnement habituel de sa conscience se dérègle. Il vit alors un autre rapport au monde, à lui-même, à son corps, à son identité comme le dit Georges Lapassade. Pour désigner le dérèglement de ce rapport au monde les Anglo-américains utilisent l'expression Altered State of Consciousness (ASC), c'est-à-dire "état de conscience altéré". Toutefois, craignant à juste titre que cette notion d'altération de la conscience ne soit entendue comme un symptôme pathologique, la plupart des auteurs francophones lui ont préféré celle de modification : "état modifié de conscience".

Vivre un autre rapport au monde, comme l'indique Lapassade, c'est expérimenter une réalité différente de la réalité ordinaire qui est celle à laquelle on se réfère habituellement. Par définition, le sujet vit donc des expériences "extra-ordinaires" en EMC. À chaque époque, c'est la société qui fixe les critères de la normalité et donc le cadre de références de ce qui est acceptable ou non par le plus grand nombre. Aussi il est important de bien différencier la personne qui vit une expérience d'état modifié de conscience et qui revient ensuite à la réalité (réalité du groupe et de la société), de la personne psychotique qui elle, évolue dans une sorte d'état modifié de conscience certes, mais chronique, non maîtrisable et le plus souvent irréversible. 

Comment créer un état modifié de conscience?

Un état modifié de conscience peut être induit par différents contextes. L’hypnose bien sûr, mais aussi le sommeil, le rêve, la relaxation, la méditation, la transe, la prise de substances hallucinogènes, etc. Nous pouvons donc les autogénérer puisqu'ils peuvent être provoqués, mais ils peuvent également être spontanés. C'est ce qui se passe par exemple dans les expériences de mort imminente ou NDE (Near Death Experience), les expériences de sortie de corps ou les expériences dites de sommet (peak experience). Les états d'extase mystique en font également partie. 

Quelle différence entre état modifié de conscience et expansion de conscience?

Tout va dépendre de l'intention du thérapeute qui guide la séance. Qu'il s'agisse d'hypnose, de rêve éveillé, de respiration holotropique, etc. le résultat pourra être différent. Dans certains cadres l'état modifié de conscience va permettre une libération émotionnelle, ou une prise de conscience d'un de ses schémas limitants, ou encore permettre une meilleure perception de son corps, etc. Du fait de la modification temporaire de l'état de conscience ordinaire, et du soutien du praticien, va s'établir une zone de dialogue entre le conscient et l'inconscient. Celui-ci donne accès à tout un potentiel de ressources inaccessibles autrement. Il s'agit donc d'un objectif d'ordre thérapeutique. Quand nous parlons de prise de conscience, nous évoquons une vraie modification de notre pensée et de notre être. Il y a une rupture avec un état inconscient qui crée un véritable changement de notre manière de penser et de vivre.

Dans un autre cadre l'intention peut être une expansion de conscience. Il va s'agir de vivre une expérience qui va faire reculer les limites de sa perception de la réalité pour créer une expérience de transcendance. Cela peut être vécu dans des approches telles que la méditation, mais aussi le tantra ou autre. Explorer une autre réalité pour mieux se connaître, mais également devenir plus vigilant à tout ce qui se passe dans chaque moment de notre vie quotidienne.

Dès que nous avons cet objectif d'explorer des champs de la réalité non ordinaire, que ce soit à titre individuel ou en groupe, il est très important que l'intention posée soit claire et cohérente. Si cette intention est floue, nous allons vivre de la confusion (du flou). Si l'intention est trop totalitaire, nous allons vers du dogmatisme et si elle est trop connectée à notre libre arbitre cela va laisser la place à trop de créativité avec notre imaginaire qui va pouvoir délirer sans qu'aucune information ne soit assimilable.

L'autre piège souvent rencontré est la croyance que l'objectif d'une expérience d'expansion de conscience est de "faire monter notre taux vibratoire", de nous permettre de passer dans une dimension plus élevée, voir "d'ascensionner". Nous reconnaissons bien là un discours typique qui flatte l’ego et qui n'a rien à voir avec la notion d'évolution. En effet vivre des expériences d'états modifiés de conscience n'a de sens que si cela nous aide à mieux vivre, à nous créer une vraie liberté intérieure tout en étant bien intégré et présent au monde incarné.

Conclusion

Comment sait-on qu'une expérience d'expansion de conscience est réussie ? Dès l'instant où notre vie acquiert un sens plus riche et plus profond, où notre existence a un but plus ferme.

Revue de presse

T1 et T2 de la newsletter 

Les archives de la newsletter existent sous forme de ebook. Le tome 1 regroupe les news 1 à 4 et le tome 2 les news 5 à 8 plus certains articles parus à l'époque sur le blog "Radiesthésie". Chaque tome est au prix minimal, soit moins de 1 euro. 

Bac No-Stress

Dans notre démarche de rendre les outils de méditation corporelle accessible à toutes et tous, après Qi-gong-no-stress voici Bac-No-Stress. Un ebook kindle, toujours à moins de 1€ et qui contient tous les outils de gestion du stress par la médiation corporelle : cross-crawl, respiration cohérente, hypertonix, ... Ces outils sont bien sûr adaptés à tout type de concours ou d'examens et sont la base d'un bon centrage quand on fait du biotesting. 

Formation TQC & Ethérapie

Tous les ans nous formons un petit groupe de thérapeutes à notre approche systémique et intégrative qu'est l'Ethérapie. C'est une formation complémentaire sur 3 WE, un en septembre, un en octobre et un en novembre. Cette formation est très dense aussi, pour celles et ceux qui veulent découvrir l'Ethérapie en douceur, il y a le WE de Tarot Quantique en juin. Comme le savent les lecteurs assidus de la newsletter, le TQC est un outil multi-facettes qui touche la réharmonisation, le coaching, le biotesting et le développement personnel d'une façon générale. En un WE, on découvre donc l'approche Ethérapie et on repart avec un outil sympathique d'aide à la décision et de connaissance de soi.

Liste des Homéos disponibles au 4/4/2014

L'avantage des homéos Boiron, c'est qu'elles sont disponibles dans toutes les pharmacies, aussi en voici la liste à jour : 

http://partage1901.free.fr/liste_eh_boiron.pdf

Jardinologie

Le livre "Le jardinier radiesthésiste" est épuisé et introuvable. Un scan est disponible sur archive.org/details/jardinologie

Nb: Si vous ne l'avez pas , sur archive.org, il y a aussi "Initiez-vous à la Radiesthésie", le numéro spécial de la revue "Jardins et Basses-cours" du 20 juillet 1935 ! 

Le cours aborde l'art du sourcier, mais aussi l'application aux animaux et l'aviculture...

Archive.org/details/Initiez-vousALaRadiesthesie 

BD & éveil 

La BD est une bonne voie de communication avec les enfants, mais aussi avec notre enfant intérieur. À travers 8 BD, Martine Dussart nous propose de redécouvrir les fondamentaux du développement personnel. 

Krishnamurti : audiolivre 

Se libérer du connu : à écouter sur Youtube ou à lire en poche. 

Un texte pour être guidé sur le chemin de l'éveil.

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N°12 Rentrée 2014

Liberté intérieure & Autodiscipline

En développement personnel, trouver le chemin de la liberté intérieure est la clé pour celui qui désire s'émanciper de toutes ses peurs et de ses limites. 

En parallèle si nous considérons le domaine de la spiritualité, acquérir la liberté intérieure, c'est prendre sa vie en main au lieu de l'abandonner aux tendances forgées par les habitudes et les visions de la Vie du mental. Dans les deux cas, il y a bien la notion de sortir d'une sorte de conditionnement qu'il se soit créé suite à notre histoire personnelle ou suite à aux schémas imposés par la société. 

La liberté 

Prenons la définition du mot liberté, la première pensée qui y est associée pour la majorité d'entre nous c'est : "pouvoir faire ce que je veux, quand je veux, comme je veux, etc." Prenons maintenant la définition du dictionnaire:

Cette notion de liberté d'où provient-elle ? Elle est la conséquence de notre désir d'être notre propre maître. En extérieur, elle va se manifester, sur le plan collectif, à travers la nécessité par exemple de se délivrer d'une dictature. 

Et sur le plan individuel ? Cela va être la même chose : à un moment donné de notre évolution, le besoin de libérer de ce qui nous tyrannise et de ce qui nous fait souffrir va devenir impératif. Toute notre démarche va aller dans le sens de s'affranchir de nos pulsions irrationnelles. Ceci dans le but de pouvoir agir non plus sous l'influence de nos peurs, mais en fonction de références internes justes et adaptées. Adaptées à qui nous sommes au plus profond, adaptées également à ce qui juste ici et maintenant dans ce contexte. Nous avons bien compris que la liberté intérieure est un état d'être avant toute autre chose. Mais qui en nous peut être en mesure de nous dicter nos comportements ou sait si bien jouer ce rôle de dictateur ? D'un côté il va y avoir notre inconscient d'où l'intérêt de devenir conscient de nos programmes. De l'autre, il y a notre ego, fidèle au poste, prêt à entrer en conflit avec tout ce qui lui déplaît ou prêt à chercher désespérément à s'approprier ce qu'il désire. 

Dans cette recherche de la liberté intérieure nous n'évoquerons pas le premier primordial pas qui consiste à ne plus externaliser et à prendre conscience que nous sommes cocréateurs de notre souffrance. Sans cette première prise de conscience nous cherchons toujours et encore à l'extérieur, nous restons plus ou moins persuadés que c'est de la faute à l'autre : conjoint, famille, travail, étrangers, ... Ce n'est qu'une fois cette première étape primordiale intégrée que notre propos de ce jour à un intérêt.

L'autodiscipline 

Je vous propose aujourd'hui de nous pencher sur les outils qui sont à notre disposition pour acquérir cette maîtrise de soi, celle où l'ego est à sa juste place et ne peut plus avoir le pouvoir de nous asservir à son bon vouloir. 

Cet outil qu'il va nous falloir mettre en place et que dans les traditions spirituelles on qualifie de vertu c'est l'autodiscipline. Combien d'entre nous à la seule lecture ou évocation de ce mot sentent déjà de la réticence voire une vraie résistance... presque une allergie à ce mot ? Maintenant que vous savez que c'est la meilleure "des armes", celle à laquelle votre ego ne peut pas résister si vous faites l'effort de la mettre en pratique, vous êtes en mesure de comprendre toutes vos réactions, tous les arguments que va vous proposer le mental pour rejeter cette fameuse vertu. L'autodiscipline c'est la seule façon de s'éduquer à la maîtrise de soi. D'ailleurs depuis la nuit des temps les maîtres nous l'enseignent. Que ce soit dans les arts martiaux avec la maîtrise de ses réflexes, la musique avec la maîtrise de son instrument, les pratiques de jeûne, de méditation, etc. l'autodiscipline est un point clé sans lequel l'accès au savoir-être ne peut pas se produire. Si nous prenons l'exemple de la musique, il y a bien la nécessité d'apprendre à jouer de son instrument, de s'entraîner, de répéter de nombreuses fois les mêmes morceaux . La liberté dans l'exécution et l’interprétation des partitions viendra après seulement l'acquisition de cet apprentissage. L'autodiscipline c'est aussi bien la capacité à résister aux tentations, que la capacité à s'imposer un effort. Or dès que nous voulons atteindre un objectif, quel qu’il soit il faudra être prêt à consentir à un minimum d'efforts. Au départ l'autodiscipline demande effectivement beaucoup d'effort parce qu'il s'agit de créer un réflexe, une nouvelle habitude. Or l'ego aime bien nous maintenir dans une sorte de paresse. Regarder simplement l'instant où nous voulons nous mettre à méditer. Nous nous installons sur notre coussin. Et puis à peine installé nous trouvons déjà que quelque chose ne va pas. Nous essayons plusieurs positions pour trouver la plus confortable. Au besoin nous allons chercher un autre coussin. Puis ce problème enfin résolu, nous avons l'impression d'avoir soif. Pas une petite soif, mais une soif du genre impérative qui exige d'être satisfaite sur le champ. Ou alors nous venons de nous souvenir d'un truc hyper-important à faire. Bref notre ego nous persuade de mille et une façons de faire autre chose que ce que nous avions prévu initialement. La grande difficulté de l'autodiscipline c'est qu'il y a toujours, au début, ce passage où il faut affirmer sa volonté et faire le choix de qui nous voulons être dans cet instant, mais aussi dans le futur. En effet ces instants-là conditionnent aussi tout notre futur. Dès l'instant où notre ego ne peut plus nous manipuler, car nous avons acquis la liberté intérieure de faire les choses pour notre bien, l'extérieur ne pourra plus non plus nous manipuler.

Comment développer l'autodiscipline ?

Il ne va pas s'agir de transformer toute sa vie du jour au lendemain. Commencer à son niveau en adoptant un objectif adapté à son rythme va être important. En effet il ne s'agit pas de vous mettre un objectif inatteignable ni un objectif sur lequel votre ego aura prise. Donc le moyen le plus facile pour éviter ces écueils est de commencer par créer une nouvelle habitude très simple qui ne vous prendra que quelques minutes par jour. Prenez un exercice connu passant par la médiation corporelle (qi-gong ou tout autre exercice de respiration, yoga, chant des voyelles, etc.). Déterminez quel est le moment dans la journée où il est le plus facile pour vous de pratiquer votre exercice sans risquer d'être interrompu . Rappelez-vous que l'objectif est de créer une nouvelle habitude au même titre que vous avez su créer le réflexe de vous brosser les dents ou de laver régulièrement vos mains. Souvent, il est conseillé de faire cela le matin dès le lever afin d'éviter le fameux piège du "tout à l'heure" appelé également "je le ferai un plus tard" et qui est sûr de glisser tout naturellement vers le "jamais". Ensuite, pour continuer dans l'optique de couper l'herbe sous le pied à votre ego rendez cet exercice "ridiculement simple" en décidant de vous engager à faire cet exercice cinq minutes par jour. Qui n'a pas cinq minutes à consacrer à son bien-être ? Personne ne peut décemment prétendre sur une journée de 24h soit un total de 1440 minutes ne pas être en mesure de trouver ces fameuses cinq minutes ! Ensuite, maintenir ces trois points : exercice, moment de la journée, et temps sur un minimum de 30 jours.

Pour vous aider à maintenir cet effort sur le long terme, votre motivation va être essentielle. Pour la soutenir avoir bien présent à l'esprit pourquoi vous avez décidé de mettre en place cette habitude est la clé. Votre but est d'acquérir de l'autodiscipline celle-ci étant synonyme de maîtrise de soi et donc de liberté intérieure. Vous imposez ce choix délibéré de vous forcer à faire cet exercice tous les jours quoiqu'il se passe est la méthode la plus sûre pour ne plus être manipulé par votre ego. Et plus vous persévérerez dans le maintien de la pratique de votre exercice qui, rappelons-le, contribue à votre bien-être, vous assure d'être centré ou sans stress, plus vous augmenterez l'estime de vous-même et la confiance de vous. Un autre point qui va augmenter notre motivation à persévérer, c'est le fait de bien prendre le temps de ressentir son état intérieur une fois l'exercice accompli. Prendre le temps d'en ressentir les effets bénéfiques afin de bien en garder la mémoire.

Conclusion

L'autodiscipline est la clé pour celui qui ne veut plus être manipulé par son ego, mais également pour celui qui, globalement, n'a pas envie d'être manipulable sur un plan plus général. Comment la société a-t-elle du pouvoir sur les individus ? De la même façon que l’ego quand il nous incite à cultiver notre paresse naturelle, à choisir les solutions de facilité, à oublier que le bien-être est quelque chose qui se cultive sur le long terme et qu'il s'agit d'un état d'esprit à trouver en soi et non à l'extérieur (par exemple au travers de biens de consommation). Alors qui choisissez-vous d'être ? Que préférez-vous ? Cinq minutes de médiation corporelle avec à la clé la sérénité de la liberté intérieure ou refuser tout effort et continuer à être le jouet de vos conditionnements et de votre ego ? À chaque instant nous avons le choix de basculer dans une attitude ou l'autre. C'est ce qu'on appelle le libre arbitre. Oui nous avons le libre arbitre de cultiver ou non notre bien-être intérieur et l'autodiscipline est l'acte incontournable par lequel nous entérinons le choix de devenir des êtres de pleine conscience. Nous comprenons ainsi pourquoi l'autodiscipline est une véritable vertu pour ne plus être manipulé par nos peurs. Sachant qu'au-delà cela signifie également ne plus être manipulable par l'extérieur qu'il s’agisse de son chef de service, de sa meilleure amie !

Une vraie clef pour l'autonomie. 

Ethérapie & Aïkido

Introduction

L'Aïki-Do, une approche corps-esprit créée par le Maître Morihei Ueshiba, est très répandue dans le monde alors qu'elle ne propose pourtant aucune compétition, ... bizarre... bizarre.

Alors puisque c'est "bizarre", intéressons-nous à ce sport ou plutôt à cette voie (Do=Voie). 

Selon Wikipédia, l'Aïkido peut se traduire par "la voie de la concordance des énergies" : nous comprenons mieux la place de ce sujet dans la newsletter ! Enfin, quand on découvre que ce M. Ueshiba a comme référence l'approche Shinto - littéralement "la voie du divin" - une forme intégrative du Boudhisme et du Shamanisme, la facette de notre étude de l'Aïkido devient évidente : une facette transpersonnelle, énergétique et intégrative.

Devises 

Prenons comme base les trois devises de l'Aïkido :

Nous allons reprendre chaque devise afin de mieux comprendre son sens caché, secret à l'époque.

Lutter sans arme contre un ennemi armé 

Comme souvent en développement personnel, on ne parle que de soi : la non-externalisation est le premier pas sur le chemin. Cette lutte est donc soi avec soi-même et l'on comprend aisément qu'il est préférable ne pas être armé afin de ne pas se faire de mal. L'ennemi c'est bien sûr notre ego. Lui est armé "jusqu'aux dents" puisqu'il connaît tout ce que nous connaissons, et connaît même nos programmes saboteurs inconscients ! C'est donc un redoutable ennemi qui va devenir un merveilleux partenaire de vie pour progresser, pour évoluer. Tout comme en Aïkido, à chaque attaque de l'ego, l'objectif ne sera pas de résister, de donner la puissance, en effet, à priori, il est plus fort que nous ! L'idée est plutôt de lui faire rencontrer "le vide", la non-résistance. Au bout d'un certain temps, il se fatigue, se lasse et nous laisse tranquilles. 

Empêcher de nuire sans nuire

Le problème avec ce qui précède, c'est que l'ego peut toujours nous nuire. Si notre vigilance faiblit, il reviendra à l'attaque même par-derrière ! Il convient donc de l'empêcher de nuire sans pour autant lui nuire. En 2014, en Europe, ne pas avoir d'ego équivaut à une inadaptation complète au système économique et social. C'est d'ailleurs pour cela qu’en thérapie, le premier travail consiste à reconstruire, à réparer l'ego. 

En Aïkido, l'idée est d'utiliser l'énergie de son partenaire et, plus il en utilise, plus il rencontre le vide et s'épuise sans aucun résultat. Sous une autre facette, au sol, les immobilisations seront telles que si l'autre bouge il a mal. Plus il veut être belliqueux, plus il résiste, plus la douleur le plaquera au sol. Une seule solution, redevenir.. ami !

L'aïkido, selon de nombreux enseignements, sous-tend un conflit créateur. S'appuyer sur la force et l'énergie mises en jeu par "l'adversaire" afin de lui montrer un autre chemin. N'est-ce pas là une stratégie gagnant-gagnant avec son ego ?

Gagner son duel et faire don de sa vie

En dehors du fait de la formulation étrange donnée en 1958 par J. Zanin traducteur de M. Tabashi Abé lui-même élève direct de M. Ueshiba, cette devise interpelle par rapport aux valeurs thérapeutiques.

Une fois de plus la solution est dans l'internalisation, gagner son duel c'est tout simplement en sortir, ne plus être dans le duel, ne plus être dans la dualité

Ainsi les soufis parlent de djihad :

Quant à "Faire don de sa vie", n'est-ce pas mettre en pratique son art de la vie de tous les jours ? "Faire don de sa vie" n’est-ce pas laissez le plan Divin piloter notre vie sans laisser l'ego semer la discorde et la souffrance ? 

Enseignant et humaniste dans l'âme Ueshiba a bien sûr montré l’exemple. Par exemple, il osa quitta la cour impériale japonaise en 1938 pour pouvoir enseigner son art martial alors secret, à tous. Ou encore, il signera humblement ses diplômes avec "Je certifie vous avoir enseigné toute ma méthode". Enfin, "La victoire par la Paix" sera son leitmotiv toute sa vie. 

De la voie à la voix

À la lecture de ce qui précède, on peut réagir face aux termes martiaux et c’est normal en 2014 quand on est intéressé par le thème des thérapies quantiques. En effet, les textes sont tous issus de l’Ancien Monde (avant 1999) et personne, pour l’instant, ne propose de version réactualisée. Toutefois, en faisant un effort de recontextualisation - comme si nous étions en 1970 par exemple - le discours apparaîtra comme très pacifiste et novateur, même par rapport aux autres voies martiales. Ce côté s’accentue encore si l’on connaît le côté secret de l’Aîkido que nous allons maintenant découvrir : le Kototama, le son guérisseur. 

Le Kototama ou Kotodama 

La pratique de l'aïkido la plus connue est silencieuse. Cependant, dans l'enseignement de Morihei Ueshiba, l'exécution des mouvements s'accompagne de sons : les kotodama. C'était même un point fondamental pour Morihei Ueshiba, qui disait : 

"Il n'y a pas d'Aïkido sans Kototama : l'Aikido est une méthode de fusion avec Kototama, l'esprit de l'univers. L'aikido est né à travers l'écho du son"

Ces mots-sons, dans la tradition japonaise, viennent des dieux (Kami) qui inspirent l'esprit des hommes. En chantant avec la bonne intention ces mots-âmes inspirés par le divin, cela aide l’homme à concrétiser des concepts, des attitudes d’esprit : c'est le kototama ou kotodama, que l'on traduit souvent par "mots-âmes" ou "paroles sacrées". 

Actuellement, il existe un approche que l’on nomme "Onsei-Do" qui se centre exclusivement sur le chant des "mots-âmes". On peut lire sur leur site :

Les mots-âmes permettent de s’arracher de la zone d’attraction égotique par leur effet direct sur les ondes cérébrales. … Ils nous invitent à l'écoute de l’Être, à la présence simple à l'Ici-Maintenant, par la résonance intérieure.

On perçoit immédiatement l’aspect thérapeutique ou développement personnel dans le discours. Une chanteuse très connue, Lara Fabian, a d’ailleurs beaucoup témoigné en faveur du Kototama dans "Psychologie magazine" et dans les émissions de TV comme sur France 2 en 2013.

Cet aspect "Sonologie", version martiale du chant des voyelles pourrait-on dire, nous révèle la facette interne de cette Voie. 

Conclusion

En prenant l’Aïki-Do comme support, comme prétexte, on peut mieux percevoir comment le côté Alchimique peut se cacher derrière de très nombreuses pratiques et techniques. Comme souvent, il faut ouvrir le canal intuitif et les yeux du cœur pour pouvoir aller plus loin que les simples apparences. 

Sonologie & 432 Hz

Qu'est-ce qu'un La 440Hz ?

Revenons tout d'abord, pour celles et ceux qui ignorent ce dont on parle, à ce que c'est un "432" ou un "440". 440 Hz est la référence internationale actuelle pour le La 3 en musique. Cette note LA de la troisième octave, oscille 440 fois par seconde d'où la désignation courante de "La 440". Évidemment cette norme est récente et a l'avantage de permettre aux musiciens du monde entier de jouer avec des instruments accordés sur cette base. En ce sens, c'est une très bonne chose. 

Le "La 432 Hz" est donc un tout petit peu moins aigu, mais très peu à peine un 1/6 de ton plus bas, moins de 2 % d'écart. Toutefois beaucoup de personnes sensibles préfèrent les morceaux quand ils sont joués sur cette base non officielle. Des musiciens, des chanteurs, des néophytes, de plus en plus de personnes disent sentir la différence et préfèrent les musiques interprétées sur une base "La 432". Alors d'où peut venir cet engouement pour le 432, est-ce juste un effet de mode, un buzz comme on dit, ou alors y a-t-il quelque chose de plus subtil qui se joue et que les personnes sensitives perçoivent ? 

Tout d'abord, dans le cadre de cette newsletter, nous intéresserons exclusivement au côté sonologique, réharmonisant c'est-à-dire thérapeutique du son. Donc, laissant de côté le débat purement "musicien", mais aussi la facette "preuves", nous chercherons des pistes sur le côté symbolique, en lien avec l'approche philosophique quantique. 

Pourquoi pas 440 ?

Prenons du recul sur la ligne du temps, et revenons à nos fondamentaux : les nouvelles énergies dites du Verseau par opposition aux anciennes dites du Poisson. Pendant 2 000 ans, nous avons vécu un processus d'évolution dont la couleur fondamentale était l'émotionnel. La difficulté de cette période transitoire est donc de tout redécouvrir, de tout réécrire sans tenir compte des anciens repères. Or, le "La 440" peut être considéré comme l'aboutissement de ces 2 000 ans, et plus particulièrement de ces 200 dernières années. Symboliquement, prendre le 432 - qui est musicalement parlant aussi bon que le 440 - c'est marquer sa volonté de changer de repère, de ne plus s'appuyer sur les anciennes énergies. Jouer en 432, c'est adhérer symboliquement et intentionnellement au mouvement "new age post 21/12/2012". Ce n'est donc pas neutre du tout au niveau de l'intention. 

En termes plus thérapie-quantique, on peut dire que le "La 432" est un excellent focus pour les nouvelles énergies, pour une nouvelle façon de voir, pour un engagement à un "Nouveau Monde". Au fur et à mesure que des personnes adhèrent, l'égrégore comme on le nommait, augmente : le champ d'information se densifie. 

Au final, on peut dire qu'en sonologie, en thérapie quantique, le focus "La 432" établit une connexion de qualité à un courant de pensée. Tout est bien sûr symbolique, mais le symbole est agissant sur la psyché humaine, ce qui justifie pleinement son emploi en thérapie spirituelle par exemple. 

De même que, pour un hypersensoriel, le Didgéridoo connecte aux shamans du monde entier, une musique en La 432 connecte aussi à ce même courant. 

Pourquoi 432 et pas 448 ?

La symbolique de ne pas prendre 440 étant établie, reste à savoir pourquoi 432 et pas 448 par exemple. On aurait bien 8Hz d'écart (448-400=8) comme précédemment (440-432=8), alors pourquoi prendre une symbolique "vers la décroissance" ? Pourquoi ne pas "monter plus haut" ? Une réponse en trois lettres : ego. Pour comprendre cette symbolique liée à l'ego, il faut savoir que lorsque l'on joue de la musique à plusieurs, si le soliste veut qu'on le remarque, il est intéressant d'être accordé un rien plus haut. Il y a deux effets conjoints à tendre plus ses cordes. D'une part la note sera un peu plus haute plus aiguë ce qui la rend plus remarquable pour l'oreille humaine, d'autre part, le son sera plus brillant. Si maintenant les matériaux et colles sont très solides, il n'était pas rare, il y a encore une quinzaine d'années, de voir le soliste qui cassait une corde ou pour les instruments de moins bonne facture, de voir le support de cordes s’arracher sous la tension excessive des cordes. Si vous avez connu un guitariste avec un bel ego en avant, vous avez peut-être assisté à ce type de "prouesse" ! 

Symboliquement en montant de 1/6 de ton on flatte l'ego, d'où le choix de baisser la note, d'aller dans la décroissance.

Ceci est très vrai pour les instruments à cordes, mais aussi pour les instruments que l'on peut accorder y compris les percussions. 

Mais pourquoi 432 et pas 435 ?

Continuons notre prospection symbolique et éliminons d'office la référence purement "poisson" connue, le La 435 Hz qui fut la première fréquence référentielle dès 1859 et jusqu'en 1936 (début du La 440 Hz). 

Ensuite, recherchons si une référence "av. J.-C.", "avant l'ère du Poisson" existe. L'avantage serait de ne pas partir complètement de rien, d'avoir au moins quelques références dans l'inconscient collectif, d'éviter le syndrome de la page blanche. On pense bien sûr aux shamans, mais aussi aux Grecs et aux Égyptiens. Comme le didgeridoo déjà cité, une référence spirituelle qui traverse les âges est toujours plus rassurante qu'une référence "inventée et non-validée". L'inconvénient c'est qu'aucun document, aucune source d'information ne nous permet de connaître le "La égyptien ou grec". La meilleure approche que l'on trouve est liée à la gamme pythagoricienne...

Félix Savart (1791-1841), l'inventeur du sonomètre, s'est intéressé aux violons Stradivarius. Ses recherches lui ont révélé 512Hz comme fréquence de résonance des caisses des célèbres violons. Si Antonio Stradivari utilisait les ratios pythagoriciens pour définir les autres notes de la gamme, ce qui est le plus probable, alors l'accord des violons de Stradivari pour la corde du La à 432 Hz est avéré !

Le "La 432" comme référence pour une gamme pythagoricienne, voilà une excellente base symbolique !

Avant d'aller plus loin, vérifions si ce 432 n'est pas trop connoté "poisson" ou autre : ce diapason n'est dénombré qu'une seule fois parmi les 1 500 références citées par Bruce Haynes. L'orgue de 1794 de l'église St-Jean-Baptiste, Magnano en Italie est accordé en La 432, une seule référence dans le monde, c'est très raisonnable. Sinon, le La 432 est également la référence prise par Verdi : dans notre intention "verseau + thérapie", ce qui n'est pas non plus un handicap, c'est neutre dirons-nous. 

Résumons-nous : l'avantage du 432 est de porter symboliquement la gamme pythagoricienne, de ne pas être connoté "poisson" et d'être plus bas que 440. 

C'est à Pythagore (580-495 av. J.-C) que l'on attribue la création de la première gamme. Grand initié, contemporain de Zarathoustra, Lao-Tseu et Bouddha, Pythagore passa vingt-deux années en Égypte où il apprit la science des nombres. C'est à partir de cette science, de son ressenti sonore et d'expérimentations sur une corde qu'il définit le rapport harmonique de quinte : 3/2 ce qui donnera la gamme naturelle ou gamme pythagoricienne. La Divine Tetraktys, c'est le nom sous lequel Pythagore formalisa ses concepts et principes. Il existe un symbole pour désigner ce principe. Le voici en version 3D :

10 points ordonnés en un triangle équilatéral, il y a de multiples manières de voir la Tetraktys. Pour la génération des gammes, en partant du bas, on peut "lire" : 4/3 (quarte), 3/2 (quinte), 2/1 (octave), 1 (fondamentale). 

Afin de bien comprendre le lien thérapeutique que donne Pythagore, il faut savoir qu'il a développé toute une "médecine musicale" : il avait tout un répertoire de mélodies qu’il appliquait comme des remèdes spécifiques contre la mélancolie, l’insomnie, le découragement, la colère, le stress, et toutes espèces de dérangements de l’âme et de l’esprit. Pour Pythagore, la santé est une harmonie psychique et physique, un équilibre à maintenir.

Côté spirituel, la connexion à Pythagore n'est pas neutre non plus. L’idée de la musique cosmique qu'il a gardée d'Orphée est liée aux concepts d’immortalité et de réincarnation : les étoiles sont les domiciles des hommes réincarnés en une existence supérieure. Pour lui, chaque âme individuelle est habitée d’une musique intérieure qui, une fois libérée de l'incarnation, contribue aux harmonies cosmiques. 

Conclusion

Côté musique composée, le simple fait de glisser de 440 à 432 ne suffit pas, l'étape suivante serait d'écrire de nouveaux morceaux en La 432, bien sûr, mais en gamme pythagoricienne et non en gamme tempérée. Musiciens, musiciennes, à vos cordes!

Au final, le "La 432" semble être un très choix symbolique comme diapason en thérapies quantiques. Sur le plan sonologie, en chant comme en musique shamanique, c'est bien sûr le diapason du cœur qui reste la seule référence interne valable. 

Nourriture & Transformation 

Depuis 2012 nous sommes confrontés au challenge de devoir lâcher nos anciens repères (ceux liés à l'énergie de l'ère du Poisson) pour en créer de nouveaux basés sur l'ère du Verseau. Nous devons donc quitter quelque chose que nous connaissions sur le bout des doigts "l'émotionnel" pour aller vers une page blanche ou plutôt rentrer dans une pièce toute noire où nous allons découvrir au fur et à mesure notre nouveau contexte d'expériences et l'énergie mise à notre disposition pour le vivre au mieux. 

L'idéal serait de pouvoir aborder ce nouvel univers avec le regard de l'enfant quand il n'a pas encore d'idées reçues ou de croyances sur la vie. Or nous avons notre vécu personnel où l'émotionnel a été au centre de toute notre construction, et notre héritage transgénérationnel fortement teinté des 2000 ans qui viennent de s'écouler. Ensuite nous avons, plus globalement, l'inconscient collectif. Mais celui-ci a-t-il déjà été le reflet d’une époque comme celle qui s'avance devant nous ? Non, alors comment procéder pour se libérer de nos références liés au monde de l'émotionnel afin de pouvoir mieux profiter du nouveau déjà présent et actif ?

Une des clé est une fois de plus notre corps. En effet au-delà de notre ADN nos cellules sont connectées à un autre inconscient : l’inconscient biologique

Si nous partons du principe que le carburant de l'émotionnel est le sucre, jouer avec les 3 régimes alimentaires originels - sans sucre - va nous permettre de gommer tout ce qui, en nous, rappelle ou cherche encore à s appuyer sur "l'énergie du Poisson". 

Quels sont ces trois régimes ? Il s'agit : 

Regardons d'abord en quoi consiste chacun de ces régimes :

Voici la liste des aliments type du régime cétogène qui vont donc être des aliments sans hydrates de carbone :

Voici des exemples de menus types :

Petit déjeuner :

Déjeuner et dîner :

Collations :

Actuellement ce type de régime est connu d'un point de vue thérapeutique pour soigner certaines épilepsies sévères et certaines maladies du métabolisme. 

Qu'est ce que l'existence de ces trois régimes implique pour nous ?

Déjà il est intéressant de retenir que notre corps ne fonctionne pas forcément d'une seule manière. Notre constitution physiologique a été modelée par tout un parcours qui a été marqué par des différences d'abondance sur le plan alimentaire. Que le type d'aliments disponibles soit lié aux lieux géographiques, aux climats, au savoir-faire des hommes, notre organisme a su développer plusieurs voies métaboliques différentes. 

Prenons simplement les saisons et considérons ce qui est disponible au niveau alimentaire à l’échelle de l’année : ainsi, le métabolisme sur sucres simples est plutôt bien adapté à la saison estivale où les fruits sont nombreux, mais plutôt inadaptés à la période hivernale où nos ancêtres avaient à disposition surtout des graisses et des protéines animales, ainsi que d’éventuelles racines très peu caloriques (navet…). 

L’être humain a donc dû développer cette « alternance métabolique » selon le type d’aliments qu’il avait à disposition. Donc, contrairement à une voiture diesel qui ne carbure qu’au diesel, notre corps - depuis la nuit des temps- est très flexible : il n’a pas qu’une seule source de carburant possible, et cette source n’est surtout pas « que du sucre » !

Déterminons nos valences principales

Ce principe de deux types de métabolismes en lien avec les saisons et donc avec le type d'aliments disponibles signifie que chacun d'entre nous a donc une affinité avec plusieurs types de "régimes". Déterminer lesquels de ces régimes nous conviennent le mieux va être une première étape indispensable. L'idéal, une fois de plus, va être d'utiliser le biotest ou de demander à une personne qui le pratique de tester pour nous. Une première grille de solutions possibles est bien sûr de prendre les 3 régimes vus en début d’article: 

Mais on peut aussi ajouter les "régimes", les façons de s’alimenter que vous connaissez ou que vous avez déjà expérimentées :

Si vous faites le biotest en % c’est plus précis, mais dans tous les cas, on recherche les régimes ou façons de s’alimenter les plus adaptés à votre métabolisme. Prendre l’avis d’un spécialiste de la nutrition est bien sûr nécessaire pour garantir, sur le long terme, l’impact positif et éviter toutes carences. 

Vous avez donc votre panel de façons de vous alimenter et c’est déjà un plus.

Ajoutons une intention de travail

Ensuite si nous gardons l'optique initiale qui est de se libérer des repères liés à l'émotionnel, il va être intéressant, comme exercice à médiation corporelle, d'alterner la pratique de deux "régimes" en changeant tous les mois et ceci sur une période d'environ cinq mois. 

Tout d’abord cette proposition ne tient que pour les personnes en bonne santé, et d’autre part, au-delà de quelques mois, comme dit précédemment, il convient d’être suivi par un spécialiste ou un médecin afin de valider le protocole. 

Proposer un changement de métabolisme à notre corps, va permettre de reconnecter notre inconscient biologique vers des processus et des repères d’adaptation. Ainsi par exemple si je suis végétarien/cétogène, pendant un mois je mange végétarien et puis le mois suivant je mange cétonien. 

Pourquoi y-a-t-il cette nécessité de pratiquer sur une période d'un mois ? Car ceci constitue le meilleur rythme pour ne pas fatiguer l'organisme. Pourquoi faut-il un minimum de cinq mois de cette alternance ? C'est le temps nécessaire pour que le corps puisse se régénérer en fonction des nouvelles données à savoir en général : je peux fonctionner sans sucre ou/et je peux vivre autre chose que de l'émotionnel. 

Conclusion

Nos points d'appui initialement liés à l'ère du poisson s'effondrent de façon logique. Si nous ne voulons pas être en déséquilibre, il est indispensable de réaliser que nous pouvons vivre autre chose de tout aussi intéressant et que nous avons les capacités pour aborder ce nouveau qui se propose à nous. L’utilisation de l’inconscient biologique est une voie intéressante et la médiation corporelle est une clef qui a l’avantage de court-circuiter le mental et de reconstruire de nouveaux repères rapidement. 

Le Yoga est une solution, la respiration une autre et la nourriture une troisième accessible à tous. Comme nous l’avons vu, l’alternance de deux modes d’alimentation sur quelques mois, est un bon protocole de travail si vous en avez envie. Dans tous les cas, l’utilisation du biotest vous permettra de vérifier si les croyances générales sont "vraies" pour vous et au minimum, si vous êtes ou non, sensibles aux variations d’alimentation. 

SDG & Ethique, un sigle, une intention pour le UN 

SDG est un sigle pour Soli Deo Gloria qui est une expression latine signifiant "à Dieu seul la gloire". Avant de voir le rapport avec le thème de cette newsletter, regardons son emploi dans le monde des arts. 

Comme le montre l’image ci-dessus, SDG est le sigle utilisé par Jean-Sébastien Bach pour signer ses œuvres. Ce ne fut pas le seul il y eut aussi d’autres de ses contemporains comme George Frédéric Haendel, ou Christophe Graupner, d’autres personnes en d’autres temps comme le poète mystique St Jean de la Croix ou les philosophes S. Thomas d'Aquin et Saint Augustin.

Pourquoi signer SDG ? Tout simplement pour dire, à qui veut bien l’entendre, que le véritable auteur de l’œuvre n’est pas l’homme - Bach, Haendel, ou Jean de la Croix —, mais la Source elle-même ! L’homme est l’intermédiaire, le traducteur, l'interprète de l'énergie de vie, le médium au sens premier (racine commune avec le mot média - intermédiaire). 

En quoi ce principe nous concerne-t-il ?

Ce principe "SDG" a l’avantage dans le monde artistique comme dans le monde ésotérique ou encore dans le monde thérapeutique d’aider à rester humble. Même s’il est normal de retirer de la fierté à l’exécution d’une "œuvre divinement réalisée", SDG nous rappelle que ce ne sont pas nos petits neurones qui en sont l’architecte. 

Voici une blague qui illustre cette facette de SDG :

Trois chrétiens sont en train de discuter à propos du miracle. 

Le premier demande : 

- Qu’est-ce qu’un miracle ?

- Eh bien, réplique le second, un miracle arrive lorsque Dieu fait exactement ce que notre prêtre lui demande.

- Vraiment ? Dit le troisième. Moi, je pense qu’un miracle arrive quand notre prêtre fait exactement ce que Dieu lui demande.

Mais comment ne pas s'identifier au résultat d'une œuvre ou d'un projet, surtout quand on l'a mené seul ? 

L'identification au résultat : mythe humain

Un autre avantage d'utiliser ce principe va être de pouvoir court-circuiter l’ego. En effet, dès que celui-ci nous pousse à nous identifier à nos résultats, avoir présent à l'esprit que ce résultat, quelque part, ne nous appartient pas totalement va permettre de prendre du recul et "de garder la tête froide". Dans un contexte, où depuis la tendre enfance, nous avons appris qu'aux yeux des autres, de la société seul le résultat compte SDG vient nous rappeler qu'en réalité ce qui est important c'est notre intention, notre vécu intérieur ou les efforts que nous avons fait pour parvenir à ce résultat. C'est pourquoi, par exemple, vis-à-vis d'un enfant qui vient de participer à une course il sera important de lui demander s'il a eu du plaisir à courir, ce qu'il a retenu de son parcours et surtout ne pas lui demander à quelle place il a fini. C'est le pas que nous faisons sur le chemin qui nous enrichit, le but n'étant que le prétexte pour vivre des expériences.

Inspiration 

Ceci nous amène à une autre facette qui concerne tout autant l'artiste que le thérapeute : l'inspiration. Puisqu'elle est "SDG", l'important c'est d'être dans l’accueil et de cultiver cette attitude. Paradoxalement, l'inspiration est sans effort, mais cultiver l'attitude d'accueil demande des efforts, des pratiques. Cette inspiration peut prendre toutes les formes : les idées, les intuitions, les synchronicités, ... et peut être sur-activé via des pratiques à médiation corporelle ou des connexions symboliques. Par exemple, les 9 muses sont un modèle très adapté pour pouvoir connecter l'inspiration, la source, via 9 portes d'entrées.

Pour terminer, même si le savoir est transcendant (SDG), le savoir-faire et le savoir-être restent de notre initiative de nos efforts. Au final, Être est de notre seul ressort quelque soit la source d'inspiration.

Revue de Presse 

Radiesthésie

Le site qui regroupe l’ensemble des informations relatives à la radiesthésie et au pendule est désormais : sites.google.com/site/radquantique/ avec bien sûr le site d'Ethérapie etherapie.fr/newsletter .

Les ouvrages présentés sont tous connus des lecteurs de la newsletter, en revanche, l’organisation est nouvelle et la lecture de la page d’accueil est recommandée. Elle répond à de nombreuses questions sur la pratique et sa progression.

Imagerie

Le site "photo" sur lequel nous déposons tous nos visuels photos est : Flickr.com/etherapie .

Vous y trouverez, en vrac ou sous forme de 7 albums thématiques :

Cela permet notamment à tous ceux qui ont acheté la version noir & blanc du livre "TQC : La Trilogie" d’avoir la version couleur des images. 

No-Stress

Pour la rentrée, un nouveau kindle, 2 web-tv et un nouveau livre ! Le Kindle est sur une épreuve bien stressante pour beaucoup, le permis de conduire. Avec "Permis No-Stress" vous retrouverez des exercices de médiation corporelle et de la mise en sens des stress bloquants dans le cadre de ce "permis".

Accessibles sur "TV des Entrepreneurs", les modules vidéo "No-Stress" de Pascale reprennent le contenu général de nos livres sur le stress et plus particulièrement "No-Stress = no-Burnout".

Enfin, de nombreuses personnes nous ayant partagé leur goût pour un "vrai livre papier", nous avons auto-édité le livre "No-Stress : la compil" qui est la compilation de tous nos Kindles sur le stress y compris le dernier. Il est déjà en vente chez Lulu et dans 1 à 2 mois chez Amazon. 

Formation d’Ethérapie

Comme tous les ans, un module de formation à l’Ethérapie sur 3 WE sur Paris débute fin septembre. Si certains d’entre vous sont intéressés, il est important de noter qu’il s’agit d’une formation complémentaire et non d’une formation de base. À la suite de cette formation, l’objectif est, pour la plupart des personnes, d’intégrer l’Ethérapie comme une corde de plus à leur arc (ou leur harpe ;o). 

Si vous voulez suivre cette formation, comme indiqué sur la fiche de présentation, il est impératif d’avoir "reçu" les quatre soins de base de l’Ethérapie. En effet, il faut savoir si "ça marche sur vous" avant d’apprendre cette approche afin de rester cohérent. Ce "4 soins", ce bilan Ethérapique sur 4 RDV peut être fait avec toutes les personnes formées à l’Ethérapie ou par nous-même. Si vous êtes intéressé, nous vous donnerons l’adresse du coach ou du thérapeute le plus près de chez vous, ou alors, vous pouvez faire les 4 RDV par Skype. Dans tous les cas, si vous êtes intéressé, n’hésitez pas à nous contacter au 06-20-45-98-42 ou marco95@laposte.net .

Côté finance, le coût pour un particulier est moitié de celui pour les professionnels soit 855€ pour les 3 WE. Pour une formation prise en charge dans un cadre professionnel, un CIF par exemple, la formation est à 3 360€, et comprend les 3 WE de base, 2 WE d’approfondissement et 8h de supervision. 

Modèles

Sur le site de la newsletter, une nouvelle rubrique : "Modèles". Il s'agit d'une page qui regroupe, sous forme de PDF, les représentations graphiques de modèles énergétiques libres de droits ou en copy-left. À utiliser sans limites pour vous-même ou pour vos stages. 

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