N°6 Printemps 2016

Newsletter Etherapia n°6

1- Le modèle VARK

Le modèle VAKOG est très connu grâce aux nombreuses écoles de coaching qui s’appuient sur la PNL ou l'hypnose. Lors de l'ancrage d'une ressource ce mnémonique nous permet de balayer tous les champs de perception :

    • Visuel

    • Auditif

    • Kinesthésique

    • Olfactif

    • Gustatif

Quand il s'agit de pédagogie ou d'apprentissage l'olfactif ou le gustatif sont des canaux peut porteur en règle générale. Le modèle VARK est alors bien plus performant et permet de répondre à rapidement à la question :

Savez-vous de quelle façon vous apprenez ?

La nouveauté du modèle VARK est bien sûr le "R" aussi découvrons tout de suite ce qu'il veut dire :

Reading-writing / lectuRe-écRrituRe

Et effectivement, il y a des personnes qui apprennent mieux en écrivant, en prenant des notes même si elles ne les relieront pas plus tard ! On peut considérer le R comme une synergie entre le V et le K : le K c'est le mouvement du stylo, le V le fait de se lire automatiquement en écrivant. Mais le vrai plus c'est qu'on a "fait" pour apprendre, il y a une action personnelle, une inscription consciente et inconsciente de la connaissance dans notre cerveau.

Pour tous savoir sur le R et faire un test d'auto-évaluation, le plus simple est de vous rendre sur le site dédié :

vark-learn.com/le-questionnaire-vark/

2- Être coachable: oui mais si le coach est pédagogue!

En tant que thérapeute, coach, shaman de son clan, plus nous élargissons nos possibles, plus nous risquons de rencontrer des personnes non-coachables. Et pourtant, elles viennent vers vous pour une relation d'aide !

Mais tout d'abord rappelons ce que l'on appelle une personne coachable ou enseignable ou aidable. Cette personne doit posséder, en théorie - dans l'idéal -, les qualités suivantes :

    1. Une motivation pour un objectif à court, moyen ou long terme.

    2. De l'humilité : je ne sais pas tout, ou/et je ne sais pas déjà.

    3. Une ouverture d’esprit : l'autre peut m'enrichir et il est possible que je fasse partie du problème.

    4. Être prête à mener des actions par rapport elle-même (comme faire des exercices entre deux RDV).

    5. En capacité à prendre le risque d’essayer de nouvelles choses (non risquées bien sûr et accompagnées par vous).

Vous pouvez vous demander pourquoi quelqu'un viendrait vous voir s'il ne veut pas être aidé ? Et bien tout simplement parce qu'il veut être sauvé (cf le triangle infernal BVS), il veux que l'on fasse pour lui ou pour elle : le point 4 et 5 ne seront alors pas validés.

L'externalisation, "c'est de la faute à ..." rend souvent caduque les points 2 et 3. Quant au point 1, sa non validation est typique d'une demande type : "Mon conjoint m'a dit de venir vous voir".

Évidement il est très rare que les 5 points soient à 100%, mais que faire si, en moyenne, on ne franchit pas le seuil critique de 50% ? La réponse est "faire de la pédagogie" si c'est dans nos cordes et si on désire accepter le challenge.

Mais avant de parler "pédagogie" il peut être intéressant de voir "Comment réussir à échouer". Nous vous proposons ici quelques idées issues des livres de Paul Watzlawick : "Faites vous-même votre malheur" et "Comment réussir à échouer" que nous vous recommandons :

  • "La prédiction d'un événement a pour résultat de faire arriver ce qu'elle a prédit.", le grand classique de l'auto-sabotage avec le "je n'y arriverais jamais".

  • "La maturité est la capacité de faire quelque chose malgré le fait que vos parents vous l'ont recommandé.". Faire comme Papa ou surtout pas comme Papa, c'est toujours de la réaction et non de l'autonomie. Faire ce qui doit être, même si c'est comme Papa, c'est de l'individuation.

  • "Ce que l'on croit ou espère nécessairement vrai ou juste revient toujours comme vérité éternelle après être passé à travers le système digestif de l'Ego." Notre Ego a horriblement peur d'avoir tort, aussi va-t-il filtrer les informations ne retenant que celles qui vont dans son sens.

  • "L'opposé de quelque chose de mal n'est pas nécessairement bien, et peut même parfois être encore pire." Cela fait mal de frustrer un enfant, mais c'est pire d'être laxiste pour son futur .

  • "Pour modifier sa vision du monde, il est plus efficace de commencer par modifier sa façon d'agir." La tendance générale étant bien sûr de vouloir que l'autre modifie sa façon d'agir !

Ces pistes mettent bien en évidence que l'on ne pourra jamais aider quelqu'un contre son gré et que si vous lui proposez des idées, modèles, pistes contraires à ses croyances, l'Ego va saboter votre travail plus rapidement que vous ne pouvez l'imaginer. Heureusement en Ethérapie, on va biotester ce que l'on doit dire ou/et s'il faut le dire. Imaginons qu'une personne vienne vous voir pour réussir et être reconnu et que le biotest vous indique que c'est l'étape du Yi-King "La diminution" qui est le challenge de Vie actuel de cette personne. Évidement vous aurez commencer par tester "Est-elle coachable ?" et supposons que la réponse soit oui à 40%.... Il va falloir réviser vos espérances de réussite en thérapie courte et passer en mode pédagogique...

Curieusement quand on demande à un prof s'il existe un bon ouvrage de pédagogie, il vous répond "Oh, tu sais on apprend sur le tas". Si le "tas" c'est vos coachés... dur-dur pour eux, même si bien sûr on devient meilleur pédagogue avec l'expérience.

Voici donc une base facilement assimilable à destination des "non-prof" : la pédagogie par objectif. La pédagogie par objectifs à été formalisée aux États Unis dans l'enseignement technique. Elle consiste à définir une tâche à apprendre et de la découper en sous tâches et capacités à mettre en œuvre ou à acquérir pour bien la maîtriser. Aujourd'hui, afin de pouvoir généraliser cette approche, on a ajouter l'analyse descendante de la systémique. Cela consiste, après avoir défini précisément les objectifs attendus d'une séquence d'apprentissage, a les décliner en sous objectifs. La phase d'évaluation finale repose sur de l'auto-évaluation et un bilan/debriefing qui est fondamental pour valider les acquis.

Prenons un exemple, vous voulez faire monter votre coaché en surpoids en haut de la pyramide de la Lune à Teotihuacán et il est bien sûr peu sportif et vite démotivé. Situation initiale : vous êtes en bas de la pyramide, logique, mais côté pédagogique s'il voit de loin toute l'ascension, c'est déjà perdu, il va se démotiver !

Donc, vous ne lui parlez de rien et il sort du 4x4 au bas de la pyramide, voici ce qu'il découvre :

Pour lui, "en haut", c'est le haut qu'il voit, c'est dur, mais avec vous son coach, il y croit. De plus d'autres l'on fait.

NB : Bien sûr lors de l'approche vous l'avez occupé afin qu'il n'ait aucune vue d'ensemble, il la découvrira en repartant !

Pédagogiquement, vous vous êtes fixé un objectif intermédiaire, et même trois qui correspondent au trois plateaux que l'on voit sur la vue d'ensemble. Une fois arrivé en haut du premier, bien sûr il prendra alors conscience qu'il existe une autre étape. Vous aviserez alors avec beaucoup d'Amour et de Reconnaissance : il doit être fier de lui et aimer ce corps qui a bien voulu le porter jusque là. Après une pause : respirations circulaires, méditation, Qi-gong et si besoins barres de protéines et jus de fruit frais sortis de votre sac à dos, vous lui proposez : "Et si on essayait d'aller plus haut ? Bien sûr pas d'objectif de résultat, si c'est trop dur, on s'arrêtera à mi-chemin, on aura déjà une très belle vue."

Comme vos pouvez le constater accompagner dans ce cadre là n'a rien à voir avec coacher un sportif vers plus de performances. Comme le montre la photo, des centaines de personnes arrivent tous les jours à monter en haut sans coach. Vu côté sportif, il n'y a rien de spectaculaire, mais vu côté pédagogique, il y a une réelle prouesse à amener cette personne en haut, à accepter où elle en est, et à l'accompagner vers la marche suivante.

La pédagogie ça consiste aussi parmi les "n" chemins d'apprentissage possibles à choisir celui qui est le plus adapté au talent de la personne, à ses motivations, à sa vision de la vie.

Enfin la planification de sous-objectif n'est pas toujours aussi linéaire que pour la montée de la pyramide vue plus haut. Il peut être nécessaire de faire une décomposition hiérarchisée en sous-objectifs, puis en sous-sous-objectifs, etc.

On pourrait dire que la démarche pédagogique c'est prendre quelqu'un où il est sans à priori, et de définir une progression adaptée à son profil pour l'emmener... un peu plus haut ou un peu plus loin sur le chemin. L'accompagnant (thérapeute ou coach) doit donc se détacher du résultat pour ne privilégier que le chemin sans pour autant le dire à l'accompagné (patient, client, coaché). Ceci nécessite de l'abnégation et de la patience.

Comme dit en introduction, quand une personne n'est pas coachable il ne faut pas s'attendre à des résultats probants dans le court terme. Souvent la personne externalise ou/et à un ego très puissant. Si on est prêt à entreprendre la demande d'accompagnement, le passage en mode "pédagogique" est nécessaire, mais pas une pédagogie d'université, une pédagogie pleine de patience et sans attente de résultats rapides. C'est donc un choix qui doit être mûrement réfléchi et qui n'est pas accessible à tout le monde.

3- Schizophrénie : trouble du cerveau ou perte de sens?

La position majoritaire en milieu hospitalier est que la schizophrénie est une maladie mentale dû à un dysfonctionnement cérébral. En effet, les imageries du cerveau des schizophrènes et de certains psychotiques sont caractéristiques. Toutefois comme le fait remarquer Williams Paris Ph.D. auteur de Rethinking Madness et chercheur à San Fransico, les images sont l'expression du désordre mental, mais rien, absolument rien à ce jour, ne permet d'affirmer que le dysfonctionnement cérébral est l'origine de la pathologie. Il va même plus loin, puisque le cerveau redevient normal quand la cure analytique réussit. C'est bien la preuve que le cerveau n'a pas de pathologie en lui-même, mais reflète le désordre psychologique interne, le somatise.

Il faut dire que W. Paris est très bien placé pour parler de ce sujet, en effet il l'a vécu des deux côtés : en tant que chercheur en psychologie d'une part, et en tant que sujet atteint de bouffées psychotiques de l'autre !

Pour mener à bien son étude, il a d'abord confronté les principaux modèles existants à l'analyse scientifique des faits et à une analyse statistique des probabilités de corrélations. En un mot il est parti en bataille pour déconstruire les mythes sur la folie.

Tout d'abord il a mis en défaut la théorie qui veut que la schizophrénie soit causée par un déséquilibre biochimique du cerveau, puis il a démantelé la théorie basée sur une causalité physique, structurelle du cerveau. Enfin, il a pu écarter la théorie du trouble génétique. (le premier compte-rendu historique sur cette thèse est en ligne sur MadinAmerica.com , 2012).

Donc même si en santé mentale on aime définir la schizophrénie comme "une maladie chronique, grave et invalidante du cerveau" on n'hésite pas à préciser que "les causes de la schizophrénie sont encore inconnues".

Fort de sa propre expérience - il a récupéré à 100% "son cerveau" - et n'étant pas le seul, il a entamé l'élaboration d'une nouvelle compréhension de la schizophrénie et de certaines psychoses.

Ses études de cas cliniques l'ont rapidement amené à mettre en évidence que la "folie" était peut-être une réponse à un stress existentiel. La plupart des questions existentielles étant peu ou pas prise en compte par les proches et le corps médical, la personne se retrouve seule et isolée pour trouver une réponse, une solution. Comme le dit lui-même W. Paris :

L'individu que nous jugeons "schizophrénique" ou "psychotique" est simplement pris dans un match de catch extrême avec les mêmes dilemmes existentiels fondamentaux que ceux avec lesquels nous pouvons tous avoir à lutter un jour. En d'autres termes, il semble probable que la psychose n'est pas causée par une maladie du cerveau, mais est plutôt la manifestation d'un esprit profondément empêtré dans les dilemmes fondamentaux de l'existence.

Un schizophrène est donc en état d'hyper-stress par rapport à des questions métaphysiques qui, pour lui, sont, dès le plus jeune âge, de vraies questions fondamentales de la Vie. Ce "dilemme existentiel" peut être simple comme : "Je suis là, vivant, conscient, avec des ressentis et .... Maintenant, quoi ?". Ce peut être un dilemme entre authenticité et appartenance à un clan , amour et autonomie ou encore liberté et sécurité, ... Mais tous les matins, et même plus souvent, la question est là sans réponse !

Au final, l'approche Transpersonnelle serait la meilleure des thérapies pour ces personnes. Donner du sens, est pour elles prioritaire sur réussir ses études, ou bien manger, et ce dès l'âge de 6 ans !

Bien sûr, la thérapie aura lieu en parallèle avec la prise en charge par le système de santé classique, surtout si le degré de dédoublement ou de paranoïa risque de mettre en danger le sujet lui-même ou ses proches. Mais progressivement, la prise en considération de l'importance des questionnements existentiels ou/et l'acceptation de ressentis d'une autre nature , mènera à une guérison complète comme l’attesteront les imageries cérébrales (et comme W. Paris l'a vécu lui-même).

En conclusion, bien garder présent à l'esprit qu'en tant que thérapeute/coach/shaman de notre clan, nous avons un rôle possible de prévention par certains enfants sensibles au sens de la Vie. Pour cela il suffit de ne pas négliger que ce type de problématique existentielle peut être abordé avec des enfants même si l'on n'est pas un vieux sage taoïste.

4- G.O.D. : un nouveau modèle pour Dieu

2016 aura vraiment été une année où les scientifiques ont osé s'exprimer en public sur des sujets comme la médiumnie, la thérapie quantique ou la notion de Dieu. Si cela ne vous a pas semblé évident, c'est tout simplement parce que ce n'est pas en France, ou du moins rarement. Heureusement des personnes comme Marion Kaplan et sa Quantique Planète ou Lilou Macé et sa Web TV font tout pour que les informations nous parviennent. Toutefois, il reste la terrible chape de plomb de notre cartésianisme qui veut que "Je pense donc je suis" alors que bien sûr, la position à avoir pour pouvoir accueillir de nouveaux paradigmes serait plutôt :

"Je suis, donc je pense ... si je veux !".

Dans ces nombreuses conférences et discussions non traduites en français, une émergence : "La science peut-elle nous conduire à Dieu ?" nous semble intéressante, car l'approche ouvre une alternative à la foi non objectivable par nature. En toute "logique scientifique", la démarche ne sera pas de croire ou de ne pas croire en Dieu, mais de l'étudier tout simplement comme un phénomène, un sujet d'étude. À l’instar de l'Institut Métapsychique International, dont le leitmotive est "Le Paranormal, nous n'y croyons pas : nous l'étudions", Gary Schwartz propose d'étudier les effets de "GOD" - l'acronyme qu'il a choisi avec humour pour nommer le sujet de l'étude - sur des expériences formelles, formalisables et formalisées. Pour cela il part d'une définition très large de God (Dieu en français) en gardant les initiales et en précisant que le processus d'évolution du monde est un ... processus, un process.

"The GOD process" devient :

  • Guiding

  • Organizing

  • Designing

Que l'on peut traduire par "Processus GOD" pour processus de :

  • Guidance et d'

  • Organisation du

  • Devenir

pour respecter les initiales, car "Designing" se traduit le plus souvent par "Conception" dans un projet industriel. Il ne s'agit donc pas d'un devenir au sens "destinée à la madame Irma", mais bien du devenir d'un projet, de son évolution.

Partant de cette hypothèse de travail :

  • Il existe un processus intelligent qui inspire l'évolution de l'Univers,

Gary Schwartz propose de vérifier par l'observation scientifique si c'est probable, certain ou improbable. Pour lui, comme tous les autres acteurs de cette mouvance, le point clef est l'ouverture d'esprit des acteurs de l'expérience, s'ils sont persuadés que ça n'existe pas, que ce n'est pas vrai, il leur sera impossible d'observer le phénomène. Comme le remarquait déjà Louis Pasteur :

  • Les grandes découvertes sont des accidents (hasards) observés par des esprits préparés.

La chance de la découverte ne sourit qu'aux esprits préparés à découvrir, ouverts à de nouvelles possibilités. Depuis on nomme cette notion hasard-découverte : sérendipité. Ou encore comme le dit A. Jodorowsky :

Où tu fixes l'attention... apparaît le miracle

C'est principalement sur des générateurs de nombres aléatoires que sont basées les expériences reproductibles en laboratoire que propose Gary Schwartz. En étudiant statistiquement les variations non-aléatoires de ces générateurs pourtant réputés aléatoires, on met en évidence une influence "autre", un facteur "GOD". À ce jour, ce type d'analyses a déjà permis de montrer l'impact de l'inconscient collectif lors de grandes catastrophes, c'est le projet Global Consciousness Project ou GCP qui a débuté dès 1970. Ainsi les analyses des générateurs de nombres aléatoires ont mis en évidence des événements comme :

  • l'enterrement de la Princesse Diana en 1997

  • les cérémonies d'adieu dédiées à Mère Thérésa (1997)

  • le 11 septembre 2001

  • le tsunami de 2004 dans l'océan Indien

Les résultats sont statistiquement implacables, l'esprit humain et/ou la noosphère produisent des effets sur la matière ! Le projet GOD veut aller plus loin.

"Dieu ne joue pas aux dés"… disait Einstein, incrédule devant les résultats validant la théorie quantique mis au point par ses propres disciples ! C'est pourtant les probabilités et les statistiques qui dominent toutes les nouvelles approches scientifiques. Le temps du c'est "oui" ou c'est "non" est maintenant révolu et laisse place à la logique dite floue, mais en réalité simplement incarnée.

Le problème, nous dit Gary Schwartz, c’est que peu de personnes savent comment interpréter les données statistiques en général et celles issues des générateurs aléatoires en particulier. En effet, comme il s'agit de phénomène non réversible (non mécanique), il faut à priori postuler une influence et ensuite s'attacher à la traquer. D’où l'importance de l'ouverture d'esprit nécessaire puisque, à priori, on ne connaît pas le phénomène déclencheur et qu'ensuite le pourcentage d'impact sera certainement très ténu. En théorie, l'idéal serait d'appliquer la loi des grands nombres, sauf que pour cela il faudrait être capable de déclencher un grand nombre d'expériences !

Pour terminer, afin de mieux percevoir l'enjeu de détecter le processus GOD, nous considérerons que "le monde" est une roulette de casino. Si vous mettez un observateur qui ne connaît pas les règles et qui ne sait même pas que c'est un jeu, il va observer le phénomène avec sa boîte à outils statistiques. Après une centaine d'observations, il peut partir sur l'hypothèse de l'équiprobabilité de sortie de chaque chiffre. Dans ce cas, il lui faudra au moins 10 000 observations pour commencer à tendre vers cette "certitude". Certainement qu'avec un million d'observations, il validera cette équiprobabilité, mais qu'en sera-t-il des règles du jeu en elles-mêmes (The GOD process) ? Aura-t-il compris que les chiffres peuvent être regroupés en noir/rouge, pair/impair, passe/manque ? Et combien de temps mettra-t-il pour faire l'hypothèse que les règles doivent servir le casino et que c'est donc l'observation du chiffre zéro qui sera la clef ? (le zéro n'étant ni pair, ni impair, ni passe, ni manque, ni noir, ni rouge c'est lui qui dans la théorie des grands nombres assure toujours un gain positif en faveur du casino). On peut le sentir intuitivement, le projet GOD risque de mettre des siècles pour aboutir... sauf hasard et sérendipité bien sûr :o)

Pour conclure sur cette mouvance scientifique "in english", précisons qu'en France l'outil statistique est le plus souvent utilisé de façon déviante : vente, politique, septique, banque... pour prouver ce que l'on veut, peu importe le biais cognitif pourvu que le résultat concorde avec l'objectif ! On est donc très loin du projet GOD.

Le hasard est le nom que Dieu prend quand il veut rester anonyme

Albert Einstein

5- Réussite perso / réussite sociale, les pièges

Le système, la société, possède un art de la manipulation qui nous offre de multiples pièges, mais il en est un qui touche plus particulièrement les personnes ayant entamé une démarche de développement personnel : c'est la notion de réussite.

Qu'est ce que réussir sa vie aux yeux de la société ?

Selon les critères communément admis par le système sociétal, une personne a réussi si elle a accumulé une certaine quantité de biens, de connaissances via des diplômes par exemple ou encore si elle occupe une place en vue, un haut poste ou le devant de la scène (télévision cinéma etc). Finir riche et célèbre est un gage de réussite couramment admis.

Et si à la fin de votre vie vous n'avez acquis aucun bien, qu'intellectuellement vous n'avez aucun diplôme à encadrer, et que le cercle de votre réputation ne dépasse pas votre famille ou votre quartier : selon ces même critères de la société, vous avez raté votre vie ! ("Si à 50ans t’as pas une Rolex, t'as raté ta vie" à affirmer J. Séguéla le célèbre publicitaire sur France 2).

Nous constatons déjà à travers ce type de critères que les seules valeurs retenues sont de l'ordre de l'avoir, du savoir, ou des apparences, mais rien en lien avec la notion de trajectoire et encore moins d'être ! La société parle de : réussir ses études, son orientation professionnelle, sa vie amoureuse ou encore son projet professionnel, comme si la vie ne pouvait se décliner qu'en une seule couleur, comme s'il y avait un modèle unique d'existence réussie. Et si réussir sa vie était autre chose que la course aux succès ou que le culte de la performance, autre chose que la richesse financière ?

Prenons la définition du verbe réussir. Dans un premier temps cela signifie : parvenir à faire quelque chose, venir à bout de quelque chose, c'est seulement en deuxième sens que la notion de succès est associé à l'action posée.

D'un point de vue étymologique le mot réussite vient de l'italien uscita qui signifie issue, sortie.

Et si se débrouiller, c'est à dire se tirer d'affaire par ses propres moyens, à sa mesure, était de la réussite au vrai sens du terme ? Dans ce cadre toute personne qui arrive à trouver, et mettre en place des solutions à ses problèmes est une personne qui réussit sa vie .

Prenons l'exemple d'un artiste : Aujourd'hui il a 50 ans. Il a du succès auprès des spectateurs à chaque fois qu'il arrive à monter un spectacle. En revanche, il n'en a jamais aucune retombée économique intéressante et est obligé de faire des petits boulots. Si nous nous mettons du point de vue de la société, la façon dont il a construit sa vie sera qualifié de raté puisqu'il n'est pas connu dans le milieu du spectacle et ne possède aucun bien. Maintenant regardons le contexte de départ de cette personne : un milieu familiale très perturbé et perturbant, et plaçons nous d'un point de vue qui prend en considération sa trajectoire de vie, nous ne pouvons qu'être admiratifs de la façon dont il a mené sa vie.

Conclusion

Si gagner de l'argent et avoir de la considération de la part des autres sont des facteurs à ne pas rejeter d'un point de vue sociétal, ils ne doivent en aucun cas être des critères dès qu'il s'agit de faire le bilan de sa vie. Tenir compte d'où nous sommes partis (contexte d'enfance, nature hypersensorielle, etc) est essentiel pour faire un vrai bilan tout comme considérer que la notion de réussir à sa façon et non à la façon des autres, est un vrai challenge dans notre société normative.

Voici une façon écologique de faire le bilan :

  • A 15 ans, en dehors de toutes références sociétales, qu'avions nous envie de vivre, d'apprendre, de dépasser, d'alchimiser dans notre vie ?

  • A 105 ans, en dehors de toutes références externes qu'est-ce que nous aimerions être, ressentir, avoir dépassé ou alchimiser ?

La société nous piège avec l'ego par le biais de la comparaison sur des repères externes : "T'as pas de Rolex à 50 ans !". "Comment réussir à être malheureux de façon efficace ?" comme le dirait Watzlawick, en rentrant dans la comparaison et les attentes tout simplement ! Nous allons alors tomber dans le piège du diktat de la société et offrir une opportunité à notre ego pour nous faire souffrir encore un peu plus.

Faire chaque jour de son mieux (Accord Toltèque)

Ps : La réussite d'une banque c'est de gagner de l'argent ici et maintenant, .... la réussite d'un être c'est d'être heureux ici et maintenant !

6- La quatrième Voie, une voie de prise de conscience

La connaissance est inutile s’il n’y a aucune transformation spirituelle ! Pythagore

Cette transformation spirituelle, conjointe aux autres, est la base de l'approche holistique dont une modélisation possible est celle proposée en Ethérapie (page ci-après). Sur le schéma, le mot "Âme" proposé ici peut être remplacé par votre mot (Esprit, Souffle, Essence, Energie...), qui désigne quelque chose qui est connecté à quelque chose de plus grand que vous et qui existe avant et après votre passage sur Terre.

Dans un pays ou le mot "spirituel" stress ou fait peur car il réactive toutes les connotations religieuses dogmatiques, on nomme quatrième voie, ou voie Transpersonnelle en psychologie, celle qui tient compte de ce plan métaphysique où nous ne sommes pas isolé, mais connecté à un processus de Vie plus global (en thérapie, la psychanalyse Freudienne représentant la première voie, les thérapies comportementales et cognitives la seconde, et la psychologie humaniste la troisième).

Essayons de définir ou du moins de clarifier cette quatrième voie "spirituelle" et non dogmatique.

Tout d'abord, cette quatrième voie ne demande pas que l'on se retire du monde, elle n'exige pas que l'on abandonne tout ce dont on avait vécu jusque-là. Elle intègre la vie extérieure personnelle et professionnelle aussi bien que la vie intérieure. Contrairement à des voies du siècle dernier comme celles du fakir, du moine ou du yogi, elle n'a pas de forme définie, avant tout, elle doit être trouvée, ce qui nécessite un engagement et un investissement personnel et souvent un accompagnement.

Ainsi, la quatrième voie à comme principe d'être holistique et atteint directement ou indirectement tous les plans ou corps de l'être humain simultanément. Pour reprendre l'exemple précédent, si l'on considère que le fakir travaille sur la maîtrise du premier corps (P : physique-organique), que le moine travaille sur le second corps (E : apaisement de l'émotionnel) et le yogi sur la troisième corps (M : apaisement ou maîtrise du mental), la quatrième voie ne propose pas un travail sur le corps dit spirituel, mais sur les quatre corps à la fois et si possible en synergie. La médiation corporelle est l'exemple le plus simple et le plus efficient pour interagir sur plusieurs plans ou corps. En Qi-gong par exemple, on agit sur le physique via la posture, l'énergétique via l'étirement, le mental via la présence à soi mais aussi sur le spirituel si l'on en pose l'intention en conscience (voir notre article sur le blog : Qi-gong spirituel).

La quatrième voie diffère de nombreuses autres en ceci que les résultats obtenus par le travail sont proportionnels à la conscience que l'on a de ce travail. La "foi" n'est pas requise sur cette voie ; au contraire, la foi ou les croyances, de quelque nature qu'elles soient même scientifiques, y sont souvent un obstacle. Sur la quatrième voie, l'homme en devenir doit s'assurer lui-même de la vérité de ce qui lui est dit par l'expérience et non par une pensée logique même si celle-ci est fort utile lors du debriefing (de soi avec soi). La quatrième voie propose de rester à la fois ouvert à tous les possibles, tout en étant prudent vis à vis des discours et affirmations.

Sur la quatrième voie, il est possible et même souhaitable d'individualiser le travail de chacun, ce qui a fait dire que la quatrième voie qu'elle est celle de l' "homme rusé". L'homme rusé connaît un secret : chaque trajectoire est singulière et unique. Comme pour une fractale, on peut considérer que cette trajectoire dépend d'un programme primordial, d'un pattern de base, qu'il conviendra de découvrir pour mieux l’accueillir et s'en faire un allier. Ainsi le challenge de Vie deviendra un axe porteur, tout en références internes, donc solide et stable.

On pourrait croire à lire ce qui précède que la quatrième voie est égocentrique. Il n'en est rien car chaque trajectoire s'inscrit dans LA trajectoire du Monde, il s'agit donc d'une co-évolution ou chaque élément du système monde est en interrelation, en co-création avec le reste.

7- Les spirales heureuses de satisfaction

Sur la base d'un article d'Alex Korb PhD en neuroscience à l'université de Californie à Los Angeles.

Dans un article précédent sur les "9 muses" nous avions évoqué le fait que les dernières recherches en neurosciences permettent de mieux valider certains processus de changement et notamment de mieux cerner le principe actif de ce qui marche. Reprenons cet aspect de l'attitude mentale à avoir pour être dans du no-stress et plus d'efficience dans notre vie privée et professionnelle.

Il existe beaucoup de ressentis qui provoquent des réactions hormonales et neuronales typiques du stress : l’orgueil, la honte et la culpabilité sont les plus puissants. Si cette réaction est, par définition, la plus adaptée à court terme (Stress= Syndrome Général d'Adaptation), évidemment sur le moyen et long terme les conséquences seront désastreuses, la déprime puis la dépression puis le burnout ou le boreout seront là.

Alors quel état d'esprit faut-il mettre en place pour éviter tout ce processus physiologique ?

a- La Reconnaissance / Gratitude

Les neurosciences nous proposent ... la reconnaissance ! Savez-vous ce qu'un antidépresseur fait ? Il stimule la production du neurotransmetteur dopamine. Il en va de même avec la reconnaissance (ou la gratitude si vous préférez). Savez-vous sur quoi le Prozac agit ? Il stimule la sérotonine, un autre neurotransmetteur du bonheur. Il en va de même avec la gratitude et la reconnaissance !

Allons plus loin, les neurosciences montrent que le simple fait d'essayer de penser à des choses qui expriment pour nous de la reconnaissance ou de la gratitude est suffisant ! Dire "Merci la Vie" le matin en se réveillant est la pratique la plus simple pour augmenter la production de sérotonine dans votre cortex cingulaire antérieur. Dans la journée dire "Merci du cadeau" et ensuite seulement "Au fait, il est où le cadeau..." est un rituel des plus efficaces, trouver "le cadeau" n'a pas d' importance, le fait de lancer votre esprit dans la recherche est suffisant. Au fur et à mesure de ces petits exercices multi-journaliers vous augmenterez votre intelligence émotionnelle, et il vous faudra tout simplement moins d'efforts pour être reconnaissant : une belle spirale vertueuse ! Sachez qu'une étude a confirmé un réel effet biologique sur le cerveau en pratiquant "la reconnaissance" : la densité des neurones dans les deux ventres médians et latéraux du cortex préfrontal a augmenté ce qui indique une augmentation de l'intelligence émotionnelle, les neurones dans ces zones sont devenus plus efficaces !

Vous pouvez augmenter encore plus cet état de reconnaissance qui rend votre cerveau si heureux, en créant une boucle de rétroaction positive dans vos relations... Pour cela il suffit d'exprimer de la gratitude aux gens que vous aimez. Et là aussi la pratique est simple et prend peu de temps : 2 minutes seulement sur votre smartphone ou votre ordinateur. Il s'agit tout simplement, chaque matin quand vous vous connectez, d'envoyer un e-mail ou un SMS contenant le mot "merci". Là encore peu importe le contenu du message, le principal c'est votre intention de reconnaissance que vous matérialisez par le mot "Merci".

Si la gratitude est la clef principale pour créer les hormones du bonheur (sérotonine et dopamine) qui vous immunise contre la déprime, Alex Korb propose aussi d'autres pistes, simples et efficaces, pour stimuler d'autres hormones du bonheur.

b- Le toucher

La deuxième méthode est-ce que l'on nomme le "toucher thérapeutique" pour bien le différencier du toucher sensuel qui n'est pas utilisable avec tout le monde !

L'un des principaux moyens pour libérer l'ocytocine, c'est le toucher. De toute évidence, il est pas toujours approprié de toucher la plupart des gens, mais de petites attentions, comme une poignée de main chaleureuse, une main posée sur l'épaule ou dans le dos ou sur l'avant-bras, sont généralement admises. Pour les personnes dont vous êtes proche, penser à faire l'effort de les toucher plus souvent. Prendre une personne dans les bras plus de 30 secondes libère un neurotransmetteur spécifique l'ocytocine ce qui réduit la réactivité de l'amygdale et donc le stress.

Quand on parle de toucher, on pense aussi au massage. Les résultats sont très clairs : le massage agit sur la sérotonine, la dopamine et bien sûr l'ocytocine (qui active à son tour les endorphines antidouleur), mais aussi il agit sur la diminution de l'hormone du stress : le cortisol, ce qui améliore le sommeil.

Enfin, si vous n'osez pas proposer un free-hug aux personnes que vous appréciez, optez pour le sourire qui est plus facile, moins engageant et très efficace... même en interne., à soi-même :o)

c- Changer sa vision du monde

La troisième méthode est d'agir sur notre façon de voir le monde, notre attitude d'esprit. Il s'agit donc plus d'une action mentale.

Le premier point très important que nous révèlent les neurosciences c'est que nous ne nous choisissons pas les choses que nous aimons, mais plutôt : nous aimons les choses que nous choisissons. Donc choisir de faire un travail pour gagner de l'argent est bien plus structurant pour notre cerveau que de subir un travail "parce qu'il faut bien".

Ensuite, lors de décision, optez, en discours intérieur, pour "c'est une assez bonne solution" plutôt que "c'est la meilleure décision jamais faite sur Terre". En effet si c'est vraiment la meilleure décision, vous co-créez de l'anxiété pour vos décisions futures qui devront être au moins aussi bonnes (impossible par définition) et si ce n'est pas la meilleure des décisions, vous rentrez de plein fouet dans la déception, la culpabilité voire la dépréciation de soi.

Enfin, pour amoindrir l'impact négatif de nos pensées ou de nos émotions stressantes, l'astuce consiste à les nommer. Les listes des besoins et des sentiments utilisés en CNV sont une très bonne aide si vous manquez de vocabulaire (voir la liste sur Spiralis.ca ou sur CnvMaroc par exemple). Pour votre cerveau , le principal c'est de nommer pas d'être dans la précision du langage : "Je me sens schroumounouf ce matin" marche très bien.

Toujours dans la mouvance neuroscience, l'attitude d'esprit étant plus importante que tout, de nouvelles paroles de sagesses issues de neuroscientifiques notables apparaissent comme :

  • Le succès ne fait pas le bonheur., en revanche le bonheur apporte le succès.

  • Voir les problèmes comme des défis, des challenges et non pas des menaces ou des punitions.

Elles viendront bientôt enrichir les nombreux calendriers à poser sur le bureau qui proposent une pensée par jour. Aussi pour terminer cet article de façon philosophique, découvrons ou redécouvrons les paroles de Socrate (470-399 av. J.-C.).

    • La sagesse commence dans l’émerveillement.

    • Les gens qu'on interroge, pourvu qu'on les interroge bien, trouvent d'eux-mêmes les bonnes réponses.

    • Ce qui fait l'homme, c'est sa grande faculté d'adaptation.

    • Nul n’est méchant volontairement, le mal vient de ce que l’homme se trompe au sujet du bien.

    • Une vie sans examen ne vaut pas la peine d’être vécue.

    • Connais-toi toi-même.....

    • Je ne suis ni Athénien, ni Grec, mais un citoyen du monde.

    • Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien.

    • Ce que tu veux me dire, est-ce vrai ? Est-ce bien ? Est-ce utile ? Sinon, je ne veux pas l'entendre.

    • Le premier savoir est le savoir de mon ignorance : c’est le début de l’intelligence.

(Socrate n'a laissé aucun écrit, sa pensée s’est plutôt transmise par la tradition orale)

et ... MERCI de votre lecture ;o)

8- PEMS version Olivier Clerc

La base archétypale choisie par Olivier Clerc (célèbre pour ses traductions des accords Toltèques) est :

Il exprime cette représentation par :

"Guérir le cœur et libérer le mental,

pour que l'esprit se reflète dans le corps"

Il nous a semblé intéressant de présenter ce modèle qui a été établi sans qu'il n'existe aucun lien (officiel, conscient ou formel) entre l'Ethérapie et l'approche d'Olivier Clerc.

Si vous ne connaissez pas l'approche Accords Toltèques "Chevalerie relationnelle", il y a un jeu très bien fait.

9- Géobio, Shungite: ré-harmoniser sa chambre d'hôtel

Description de l'étude de cas :

Vous êtes mal à l’aise dans votre chambre d’hôtel. Vous avez du mal à expliquer pourquoi.

Diagnostic :

La sensibilité aux "ondes" géobiologiques et aux "mauvaises énergies" est inégalement répartie chez les humains. Toutefois, on estime à 20% le nombre de personnes sensibles, voire hyper-sensibles, à ce phénomène. Visiblement, votre chambre d’hôtel dégage une mauvaise énergie (mauvais chi ou shar ou Feng-shui) et vous faites partie des personnes sensitives qui ressentent les effets pathogènes. Une protection adaptée est nécessaire.

Action :

Sur le marché il existe de très nombreux compensateurs, réharmonisateurs ou nettoyeurs géobiologiques qui vont du simple gri-gri à des appareillages électromagnétiques de plusieurs milliers d'euros. Nous choisirons un nettoyeur qui a le vent en poupe depuis 2004, dont l'étude scientifique par trois savants américains date de 1984, et dont l'efficacité historique est retranscrite des narrations de la vie du Tsar Pierre Le Grand (Russie 1672 -1725). Il s'agit de la Shungite.

  1. Procurez-vous une sphère de Shungite, matière "nettoyante" russe dont les fullerènes absorbent tout ce qui est toxique.

  2. Posez cette sphère sur un meuble près du lit.

  3. Laissez agir, au bout de 2 h la pièce est nettoyée.

  4. Laissez pendant toute la durée du séjour.

Les fullerènes de la Shungite absorbent tout ce qui est toxique dans l’air pour les personnes sensitives : ondes électromagnétiques, wifi, téléphones sans fil, Gsm, antennes relais, radars… Comme l'ont découvert les scientifiques américains, elle a l'énorme avantage de ne jamais se charger, pas même de la radioactivité !

Le seul souci de la Shungite est qu'on n'en trouve actuellement qu'en Russie, près du lac Onega Shunga, il faut donc la commander dans une boutique spécialisée comme www.shungite.fr qui propose par exemple une sphère de 5 cm de diamètre très bien pour la chambre d’hôtel (référence 21 : 30€ plus 7€ de frais de port).

Autre utilisation anti-stress possible :

Tenir la boule de shungite dans les deux mains à hauteur du hara (ventre, nombril). En quelques secondes, un effet de détente apparaît puis s'amplifie au bout de quelques minutes. Les personnes sensitives peuvent bénéficier de l'utilisation d'une sphère de shungite à la fin de la journée pour drainer les informations parasites et retrouver la forme, mais souvent, les sensitifs sont aussi des intuitifs et utiliser la sphère aux pauses redonne de la clarté énergétique et donc... une bonne intuition.

Ainsi, les sphères de shungite vous aident-elles à harmoniser facilement une pièce (nuisances géopathogènes ou électromagnétiques). De plus, elles auront un impact positif sur vous en vous débarrassant de l'excès de tension due aux champs électromagnétiques (circuit de climatisation, ascenseur, réseau wifi, …) et aux ambiances de foule, créant une sorte de page blanche au niveau émotionnel et mental où l'on redevient libre d'envisager notre vie comme nous le voulons.

Un peu d'histoire

Le Tsar Pierre Le Grand (Russie 1672 -1725) souffrant d’urémie et d’épilepsie, ses conseillers et médecins lui proposèrent d'essayer une cure en Carélie (sources jaillissantes de roches en Shungite). Les résultats ne se firent pas attendre : il reprit de la vigueur, retrouva sa santé et put de nouveau reprendre en main la gestion de son pays. Il fut si satisfait des résultats obtenus sur sa santé, qu’il y fit bâtir un établissement thermal pour ses soldats et décida de s’installer afin d’y passer les dernières années de sa vie.

10- Cyber presse

Blog Passeport-no-stress.fr

Une page de sommaire a été ajoutée rendant ainsi la navigation nettement plus facile :

Passeport-no-stress.fr/sommaire

Buzz FaceBook

Voici les liens qui ont fait le buzz sur notre page sociale :

Vidéos privées

Afin de respecter les droits de diffusion, de nombreux montages vidéos ne peuvent être mis en ligne sur Youtube... en France :

    • sportnostress.fr/jodo : Jodorowsky en pleine action au Québec avec de nombreux actes psycho-magiques dont la mise en place d'un Ying...

    • sportnostress.fr/etre : un karaoké très Taoïste dans le texte à vivre avec le sourire, la joie, en rayonnant la lumière du soleil ou des étoiles !

    • sportnostress.fr/jour : un autre karaoké pour défouler notre émotionnel (vider son bol émotionnel) sur le thème de l'esclavage historiquement physique, mais plutôt mental en 2017. "Décoloniser l'esprit" comme le dirait Ngugi Wa Thiong'O

Pourquoi Amazon

A la question "Pourquoi passons-nous par Amazon qui n'est pas des plus réputés pour son côté éthique ?". La réponse est simple, Amazon permet la distribution des autos-éditeurs (papier et ebook) ce que les autres plates-formes comme la Fnac par exemple ne permettent pas. Amazon est donc en commerce équitable, ce qui est, nous l'espérons, le premier pas vers l'éthique.

Spleen chakra

La rate est parfois considérée, dans certaines traditions, comme un chakra : le "Spleen Chakra" dont la fonction est la gestion des trois chakras inférieurs.

Les Esséniens l’appelaient le "Petit Soleil". La rate est la porte de la force solaire qui vitalise le corps dense (incarnation). Sans cet élixir de vie, aucun être ne pourrait vivre.

Retrouver un très bon article de JP Thouny sur son blog :

jean-paul.thouny.fr/notre-petit-soleil-la-rate

__________

news-e-6